Les partis politiques maliens signataires de la déclaration commune du 31 mars 2024 ont fustigé la loi organique « sur les indemnités et avantages attribués aux membres du Conseil national de Transition (CNT) ».
« Les membres du CNT s’étaient, par une loi organique, indûment octroyés en catimini, des indemnités et avantages faramineux frôlant l’indécence », a-t-on appris de leur communiqué. Selon desdits partis, les membres du CNT se sont accordés des avantages « à l’insu du peuple résilient ».
« Des indemnités d’environ 2.500.000 francs CFA, hors salaire »
« Un aperçu de ce qu’ils se sont accordés : une indemnité de représentation par mois, une indemnité spéciale pour les membres du bureau, une indemnité chauffeur pour les membres du bureau, une indemnité de session par jour de session, une indemnité de restitution par session ordinaire, une indemnité de logement par mois, une indemnité spéciale, une indemnité de monture, une indemnité de téléphone, une indemnité de responsabilité, une indemnité de sujétion, une dotation de carburant et des fonds spéciaux pour le président du Conseil national de Transition (CNT) », a listé les partis politiques, qui considèrent que lesdits membres sont « beaucoup plus préoccupés et intéressés par leurs propres rémunérations, dans un contexte de grandes difficultés financières, économique, énergétique, sécuritaire vécues par les Maliens ».
Le retour à « l’ordre constitutionnel » réclamé
Selon les « dénonciateurs », il s’agit d’environ deux millions cinq cent mille francs CFA en dehors du salaire fixé sur la base de l’indice hors norme. « Le CNT devra obtenir l’approbation de la Cour constitutionnelle », ont-ils souligné, avant de réclamer « un retour à l’ordre constitutionnel sur la base d’un chronogramme électoral fixé de façon consensuelle ».
« Les membres du CNT s’étaient, par une loi organique, indûment octroyés en catimini, des indemnités et avantages faramineux frôlant l’indécence », a-t-on appris de leur communiqué. Selon desdits partis, les membres du CNT se sont accordés des avantages « à l’insu du peuple résilient ».
« Des indemnités d’environ 2.500.000 francs CFA, hors salaire »
« Un aperçu de ce qu’ils se sont accordés : une indemnité de représentation par mois, une indemnité spéciale pour les membres du bureau, une indemnité chauffeur pour les membres du bureau, une indemnité de session par jour de session, une indemnité de restitution par session ordinaire, une indemnité de logement par mois, une indemnité spéciale, une indemnité de monture, une indemnité de téléphone, une indemnité de responsabilité, une indemnité de sujétion, une dotation de carburant et des fonds spéciaux pour le président du Conseil national de Transition (CNT) », a listé les partis politiques, qui considèrent que lesdits membres sont « beaucoup plus préoccupés et intéressés par leurs propres rémunérations, dans un contexte de grandes difficultés financières, économique, énergétique, sécuritaire vécues par les Maliens ».
Le retour à « l’ordre constitutionnel » réclamé
Selon les « dénonciateurs », il s’agit d’environ deux millions cinq cent mille francs CFA en dehors du salaire fixé sur la base de l’indice hors norme. « Le CNT devra obtenir l’approbation de la Cour constitutionnelle », ont-ils souligné, avant de réclamer « un retour à l’ordre constitutionnel sur la base d’un chronogramme électoral fixé de façon consensuelle ».
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