
Le Ministre de la Communication, des Télécommunications et des TIC du Sénégal, Moustapha Guirassy a procédé ce mardi 19 avril à l’inauguration de l’incubateur des Entreprises des TIC au Sénégal. Il a, à cette occasion, fait part de la volonté du gouvernement de «libéraliser définitivement le marché des Télécommunications au profit du développement des entreprises des TIC en général». Lesquelles entreprises sont, selon le Ministre, surtout marquées par leur petite taille. Selon lui, une étude en 2010 du Consortium pour la Recherche Economique et Sociale (CRES) sur « Libéralisation internationale du commerce des services TIC ; enjeux pour le secteur privé et implications pour la mise en oeuvre de politiques publiques en Afrique de l’Ouest » démontre que «plus de 50% de ces entreprises ont un capital compris entre 1 et 5 millions de FCFA et 44% d’entre elles sont des entreprises individuelles ou familiales».
Autre fait marquant de cette caractérisation de nos entreprises des TIC, «pour l’essentiel d’entre eux, les charges dominantes sont celles liées à la consommation énergétique, l’eau, le transport et les charges de personnel».
Moustapha Guirassy de faire savoir qu’avec l’adoption du nouveau code des Télécommunications en début d’année 2011, nous abordons une nouvelle ère. «Cet important instrument juridique consacre désormais une plus grande ouverture du marché et un meilleur cadre de régulation du secteur. Il offre de nouvelles perspectives aux acteurs des TIC, en reconnaissant entres autres, le statut d’opérateur d’infrastructure et le principe du dégroupage de la boucle locale» a-t-il souligné.
Autre fait marquant de cette caractérisation de nos entreprises des TIC, «pour l’essentiel d’entre eux, les charges dominantes sont celles liées à la consommation énergétique, l’eau, le transport et les charges de personnel».
Moustapha Guirassy de faire savoir qu’avec l’adoption du nouveau code des Télécommunications en début d’année 2011, nous abordons une nouvelle ère. «Cet important instrument juridique consacre désormais une plus grande ouverture du marché et un meilleur cadre de régulation du secteur. Il offre de nouvelles perspectives aux acteurs des TIC, en reconnaissant entres autres, le statut d’opérateur d’infrastructure et le principe du dégroupage de la boucle locale» a-t-il souligné.
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