«La question du terrorisme, c’est quelque chose, comme je l’ai dit une fois, de contemporain. Ça fait partie aujourd’hui de notre existence. Une question qui touche donc tout le monde, et sous ce rapport, le Sénégal, naturellement, n’est pas à l’abri d’une quelconque surprise, à l’image de tous les pays ». Ces propos sont du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, qui se prononçait sur les menaces réelles qu’encoure notre pays
Cet exposé fait, Abdoulaye Daouda Diallo qui s’exprimait en marge de la réunion préparatoire du Grand Magal de Touba, indique cependant que le Sénégal s’est déjà inscrit dans cette ligne qui est de prévenir le terrorisme sur le territoire sénégalais : «Maintenant, ce qu’il y a, c’est de travailler à juguler ce phénomène, en tout cas, travailler dans la prévention. C’est ce que nous avons fait depuis plus d’un an. On continue de le faire avec nos partenaires. Depuis qu’il y a des surprises au Mali et dans les autres pays de la sous-région, naturellement, l’autorité responsable, le chef de l’Eta nous a instruit de travailler dans la prévention. C’est ce que nous avons d’abord fait pour que cela n’arrive pas », a-t-il révélé. Et de poursuivre dans la listes des mesures : «En deuxième lieu, si cela arrivait, il y a eu des exercices de simulation, donc comment répondre tout simplement à ce phénomène».
Mais lutter contre le terrorisme nécessite aussi un certain nombre de changement qu’il faut opérer au niveau de notre vie quotidienne, même si les autorités prennent les devants, soutient-il. Et dans ce lot de changements, figurent en bonne partie l’interdiction du port du voile islamique : «Au chapitre des préventions, je rappelle justement cette décision prise pour des questions de sécurité nationale».
Cette principale mesure, se défend Abdoulaye Daouda Diallo, n’entache en rien la pratique de l’Islam, religion dont lui-même, est adepte : «je rappelle que nous sommes des musulmans, nous sommes des pratiquants et sur cela, le chef de l’Etat a fait beaucoup d’efforts, concernant la religion en général et l’Islam en particulier. Et sur cela, on ne peut pas prendre une mesure qui pourrait justement affaiblir cette religion».
Contrairement à certaines supputations, le chef des flics est d’avis que c’est en droite ligne avec leur vœu de garantir la sécurité des personnes et des biens vivant sur le territoire national. Et ce vœu doit faire appel à un certain nombre de préalables : «Dans cette prévention, il y a certaines de nos attitudes, certaines de nos activités, certains titres de corps qu’il faut changer qui peuvent justement ne pas corroborer nécessairement ce besoin que nous avons de la sécurité nationale, ce n’est pas autre chose», précise-t-il.
Mais Abdoulaye Daouda Diallo se dit déterminé à faire le nécessaire pour que «cette décision soit appliquée dans notre pays».
Cet exposé fait, Abdoulaye Daouda Diallo qui s’exprimait en marge de la réunion préparatoire du Grand Magal de Touba, indique cependant que le Sénégal s’est déjà inscrit dans cette ligne qui est de prévenir le terrorisme sur le territoire sénégalais : «Maintenant, ce qu’il y a, c’est de travailler à juguler ce phénomène, en tout cas, travailler dans la prévention. C’est ce que nous avons fait depuis plus d’un an. On continue de le faire avec nos partenaires. Depuis qu’il y a des surprises au Mali et dans les autres pays de la sous-région, naturellement, l’autorité responsable, le chef de l’Eta nous a instruit de travailler dans la prévention. C’est ce que nous avons d’abord fait pour que cela n’arrive pas », a-t-il révélé. Et de poursuivre dans la listes des mesures : «En deuxième lieu, si cela arrivait, il y a eu des exercices de simulation, donc comment répondre tout simplement à ce phénomène».
Mais lutter contre le terrorisme nécessite aussi un certain nombre de changement qu’il faut opérer au niveau de notre vie quotidienne, même si les autorités prennent les devants, soutient-il. Et dans ce lot de changements, figurent en bonne partie l’interdiction du port du voile islamique : «Au chapitre des préventions, je rappelle justement cette décision prise pour des questions de sécurité nationale».
Cette principale mesure, se défend Abdoulaye Daouda Diallo, n’entache en rien la pratique de l’Islam, religion dont lui-même, est adepte : «je rappelle que nous sommes des musulmans, nous sommes des pratiquants et sur cela, le chef de l’Etat a fait beaucoup d’efforts, concernant la religion en général et l’Islam en particulier. Et sur cela, on ne peut pas prendre une mesure qui pourrait justement affaiblir cette religion».
Contrairement à certaines supputations, le chef des flics est d’avis que c’est en droite ligne avec leur vœu de garantir la sécurité des personnes et des biens vivant sur le territoire national. Et ce vœu doit faire appel à un certain nombre de préalables : «Dans cette prévention, il y a certaines de nos attitudes, certaines de nos activités, certains titres de corps qu’il faut changer qui peuvent justement ne pas corroborer nécessairement ce besoin que nous avons de la sécurité nationale, ce n’est pas autre chose», précise-t-il.
Mais Abdoulaye Daouda Diallo se dit déterminé à faire le nécessaire pour que «cette décision soit appliquée dans notre pays».
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