
Jacob Zuma, le président sud-africain, maintient les troupes sud-africaines en Centrafrique, le 22 mars 2013. REUTERS/Pascal Lauener
Le président Jacob Zuma a bien expliqué le 25 mars que les soldats sud-africains présents en Centrafrique, en vertu d’un accord bilatéral, étaient là dans le cadre des efforts de paix et de stabilisation de la région.
L’ANC, le parti au pouvoir, a également affirmé que les soldats tués dimanche étaient morts pour la paix sur le continent. Et pour l’Afrique du Sud, il n’est pas question pour le moment de retirer ses troupes.
Mais ces explications n’ont pas suffi. La mort de ces soldats a provoqué l’émoi, mais aussi beaucoup de questions dans le pays. L’Alliance démocratique, dans l’opposition, réclame l’ouverture d’une enquête sur le déploiement des forces sud-africaines.
Les critiques viennent également de l’armée elle-même : Sandu, le syndicat de la Défense nationale estime que le gouvernement doit ramener les hommes à la maison.
Quant au secrétaire général du Cosatu, la centrale syndicale alliée de l’ANC, il estime, que les troupes sud-africaines n’auraient pas dû être déployées, du moins sans mandat de l’Union africaine.
Source: RFI
L’ANC, le parti au pouvoir, a également affirmé que les soldats tués dimanche étaient morts pour la paix sur le continent. Et pour l’Afrique du Sud, il n’est pas question pour le moment de retirer ses troupes.
Mais ces explications n’ont pas suffi. La mort de ces soldats a provoqué l’émoi, mais aussi beaucoup de questions dans le pays. L’Alliance démocratique, dans l’opposition, réclame l’ouverture d’une enquête sur le déploiement des forces sud-africaines.
Les critiques viennent également de l’armée elle-même : Sandu, le syndicat de la Défense nationale estime que le gouvernement doit ramener les hommes à la maison.
Quant au secrétaire général du Cosatu, la centrale syndicale alliée de l’ANC, il estime, que les troupes sud-africaines n’auraient pas dû être déployées, du moins sans mandat de l’Union africaine.
Source: RFI
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