La tutelle, ministre des Forces armées a fini de se ressaisir afin d’annoncer la couleur dans le cadre du brûlot, « Pour l’honneur de la gendarmerie sénégalaise ». Ce, en confirmant le rappel du Colonel Ndaw en service à Rome au bercail pour qu’ «il réponde de ses actes ». « Il sait ce qui l’attend…L’Armée a ses réalités, nous ferons le nécessaire », disait Augustin Tine aux premières heures des terribles révélations contre l’ancien haut commandant de la gendarmerie, le Général Fall, qui selon les propres termes du ministre, peut aussi convoquer la justice.
Du côté de l’Etat du Sénégal, c’est maintenant clair : le Colonel Ndaw est au banc des accusés. Il n’aurait dû jamais écrire son ouvrage dit le brûlot contre la gendarmerie nationale. Le ministre des Forces armées l’avait prévenu depuis vendredi dernier en ces termes : « J’ai été très surpris lorsque j’ai eu l’information à travers les média… Il (le colonel Ndaw) sait ce qu’il a fait et ce qui l’attend en tant que colonel. L’Armée a ses réalités, nous ferons le nécessaire ». Ceci, 24 heures seulement avant la sortie du porte-parole du gouvernement, Me Oumar Youm qui mettait lui-aussi en exergue le fait que le Colonel a violé le Code de déontologie de l’Armée. Pire, il a été déloyal.
Eh bien, le Colonbel Ndaw semble mal barré. Pas plus tard que ce lundi, le ministre des Forces armées est remonté au créneau sur le RTS 1 pour tonner : « Le Colonel Abdou Aziz Ndaw a violé une obligation fondamentale qui pèse sur l’ensemble du personnel des Forces armées, l’obligation de réserve. Cet officier a commis une grave faute disciplinaire, une trahison, une violation de secret classé secret défense pouvant porter atteinte à l’autorité d’un commandant et aux morales des militaires. Eu égard à la gravité des faits, les mesures suivantes ont été prises : le rappel à Dakar du colonel Ndaw attaché militaire auteur du livre. Il devra répondre des conséquences de ces actes au plan disciplinaire. L’inspection générale des Forces armées sera saisie pour enquêter sur les allégations du livre et en tirer toutes les conséquences de droit. Les personnes mises en cause se réserveront le droit d’ester en justice ».
Le principal mis en cause est le général Fall, ancien haut commandant de la gendarmerie, accusé de haute trahison, enrichissement illicite dans le cadre du dossier Casamance, commanditaire du meurtre en 2006, de l’ancien Président du Conseil Régional (PCR) de Ziguinchor, feu Oumar Lamine Badji, du nom de la permanence du Parti Démocratique Sénégalais (PDS).
Du côté de l’Etat du Sénégal, c’est maintenant clair : le Colonel Ndaw est au banc des accusés. Il n’aurait dû jamais écrire son ouvrage dit le brûlot contre la gendarmerie nationale. Le ministre des Forces armées l’avait prévenu depuis vendredi dernier en ces termes : « J’ai été très surpris lorsque j’ai eu l’information à travers les média… Il (le colonel Ndaw) sait ce qu’il a fait et ce qui l’attend en tant que colonel. L’Armée a ses réalités, nous ferons le nécessaire ». Ceci, 24 heures seulement avant la sortie du porte-parole du gouvernement, Me Oumar Youm qui mettait lui-aussi en exergue le fait que le Colonel a violé le Code de déontologie de l’Armée. Pire, il a été déloyal.
Eh bien, le Colonbel Ndaw semble mal barré. Pas plus tard que ce lundi, le ministre des Forces armées est remonté au créneau sur le RTS 1 pour tonner : « Le Colonel Abdou Aziz Ndaw a violé une obligation fondamentale qui pèse sur l’ensemble du personnel des Forces armées, l’obligation de réserve. Cet officier a commis une grave faute disciplinaire, une trahison, une violation de secret classé secret défense pouvant porter atteinte à l’autorité d’un commandant et aux morales des militaires. Eu égard à la gravité des faits, les mesures suivantes ont été prises : le rappel à Dakar du colonel Ndaw attaché militaire auteur du livre. Il devra répondre des conséquences de ces actes au plan disciplinaire. L’inspection générale des Forces armées sera saisie pour enquêter sur les allégations du livre et en tirer toutes les conséquences de droit. Les personnes mises en cause se réserveront le droit d’ester en justice ».
Le principal mis en cause est le général Fall, ancien haut commandant de la gendarmerie, accusé de haute trahison, enrichissement illicite dans le cadre du dossier Casamance, commanditaire du meurtre en 2006, de l’ancien Président du Conseil Régional (PCR) de Ziguinchor, feu Oumar Lamine Badji, du nom de la permanence du Parti Démocratique Sénégalais (PDS).
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