Le débat sur la légalisation de l’avortement médicalisé refait surface. Jamra annonce qu'il ne transigera nullement sur cette disposition qui est contraire aux principes religieux. Ce, au moment où président de la Ligue islamique des Oulémas du Sénégal, Thierno Madani Tall, Khalife de Thierno Mountaga Tall a fini de mettre en garde «contre toute légalisation de cette forme d’infanticide qui ne dit pas son nom».
L'Eglise est également contre l’avortement médicalisé et la contraception. Selon Abbé Alfred Sarr, ces deux (2) méthodes consistent aujourd’hui à éliminer de vies. Une chose que l’église n’admet guerre.
«Quand vous parlez de l’avortement médicalisé, attention au jeu de mots: Est-ce qu’on peut parler de l’avortement thérapeutique ou d’un avortement médicalisé ? Parce que dès qu’on parle d’avortement, la vie de deux (2) personnes est en jeu. Il y a la maman d’un côté et l’enfant de l’autre. Il faudrait bien tuer Pierre ou ressuscité Paul ? C’est là, la grande question», argue Abbé Alfred Sarr.
Selon lui, «on comprend qu'il y a parfois des gestations qui sont des risques pour la mère. Là où aujourd’hui la conscience de la maman est interpellée. Tout avortement met une vie en jeu. Or, la vie est sacrée et inviolable, voila ce que l’église dit».
A Pikine, le comité de plaidoyer pour l’accès à l’avortement médicalisé au Sénégal, s’appuie sur le protocole de Maputo ratifié par le Sénégal et qui reconnait ce droit. Pour la coordonnatrice de ce comité, Amy Sakho, «rien qu’en 2012, 51. 500 avortements ont été provoqués au Sénégal. De plus, 25% des affaires jugées dans les chambres criminelles sont des femmes jugées pour infanticide ou avortement».
«Suffisant», dit-elle «pour autoriser l’avortement médicalisé qui vise seulement à sauver des vies».
L'Eglise est également contre l’avortement médicalisé et la contraception. Selon Abbé Alfred Sarr, ces deux (2) méthodes consistent aujourd’hui à éliminer de vies. Une chose que l’église n’admet guerre.
«Quand vous parlez de l’avortement médicalisé, attention au jeu de mots: Est-ce qu’on peut parler de l’avortement thérapeutique ou d’un avortement médicalisé ? Parce que dès qu’on parle d’avortement, la vie de deux (2) personnes est en jeu. Il y a la maman d’un côté et l’enfant de l’autre. Il faudrait bien tuer Pierre ou ressuscité Paul ? C’est là, la grande question», argue Abbé Alfred Sarr.
Selon lui, «on comprend qu'il y a parfois des gestations qui sont des risques pour la mère. Là où aujourd’hui la conscience de la maman est interpellée. Tout avortement met une vie en jeu. Or, la vie est sacrée et inviolable, voila ce que l’église dit».
A Pikine, le comité de plaidoyer pour l’accès à l’avortement médicalisé au Sénégal, s’appuie sur le protocole de Maputo ratifié par le Sénégal et qui reconnait ce droit. Pour la coordonnatrice de ce comité, Amy Sakho, «rien qu’en 2012, 51. 500 avortements ont été provoqués au Sénégal. De plus, 25% des affaires jugées dans les chambres criminelles sont des femmes jugées pour infanticide ou avortement».
«Suffisant», dit-elle «pour autoriser l’avortement médicalisé qui vise seulement à sauver des vies».
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