Un bruit qui devrait disparaître bientôt si l’on en croit au ministre d’Etat, ministre de l’Energie, Samuel Amèt Sarr qui a promis la fin des coupures ou du moins, l’atténuation des coupures pour le 15 août prochain. Toutefois, cette date ne fonde pas, forcément, l’espoir chez les Sénégalais qui, pourtant souhaitent le retour d’un éclairage normal le plus vite possible. Cette date les fâche plutôt
« Samuel Sarr est un habitué des promesses », soutient Mme Sow, teint noir, la tête couverte d’un foulard noir, toute de blanc vêtue et assise à l’arrêt bus des Allées du centenaire, près de la place de l'Obélisque. « Il ne fera rien de ce qu’il a promis », jure-t-elle. Près d’elle, une dame, qui coupe la parole : Comment Samuel Sarr peut-il réussir à résoudre ce problème d’électricité, n’est-ce pas lui qui était directeur de la SENELEC, sans rien faire de mieux ? s’interroge -t-elle.
Dans une boutique d’un opérateur de téléphonie mobile, ce sont les mêmes complaintes. « Depuis ce matin, nous sommes là, sans électricité », se plaint ce jeune homme d’une trentaine d’années qui ne croit pas une seule seconde aux promesses du ministre de l’Energie. « Je ne prêtais même pas attention à ce qu’il disait. Je sais que ce sera la même promesse qui ne sera pas respectée », prédit-il.
Près de la station Elton de Colobane, la frustration causée par la promesse du ministre d’Etat, ministre de l’Energie, Samuel Sarr est la même. « J’ai suivi à la télévision et j’ai entendu ce qu’il a dit, selon lui, ce problème est une petite erreur », raconte M. Alassane Ndong qui a décodé des signes de non respect du ministre de l’Energie à l’endroit des Sénégalais. « Je pense qu’il ne respecte pas les Sénégalais. Sinon, il aurait trouvé mieux à dire que de parler de petite erreur devant ces dommages causés par le manque d’électricité, partout à travers le pays », s’insurge M. Ndong.
D’autres personnes sont même fâchées, rien qu’en entendant le nom du ministre qui, selon eux est synonyme d’échec. « C’est clair que même le nom de Samuel Sarr sonne mal aux oreilles des Sénégalais », clame d’un ton ferme M. Sidy Samb qui déconseille aux parents de ne pas s’aventurer à donner ce nom à leurs progénitures parce qu’il est source de malheur. Selon lui, partout où le ministre est passé, c’est le malheur et la catastrophe. Il va même plus loin en demandant au chef de l’Etat de prendre ses responsabilités en écartant le ministre de la gestion des affaires publiques. Un conseil partagé par Amy Mbaye, une dame trouvée prés du marché des HLM,« j’ai écouté à la radio la séance parlementaire mais je vous assure que les premières réponses du ministre m’ont énervée parce qu’il ne disait rien de concret », tempête Amy Mbaye qui estime que la promesse du 15 août n’est qu’une promesse de plus qui ne sera jamais respectée. Selon elle, pour espérer des lendemains meilleurs, le chef de l’Etat doit se séparer de Samuel Sarr qui est devenu un véritable symbole d’échec ».
Ce torrent de colère amènera-t-il les autorités à changer de stratégies pour permettre aux Sénégalais de retrouver très vite un éclairage normal ? «Si à condition que le Président de la République, Me Abdoulaye Wade, reprenne la situation en main», préconise Assane Sall pour qui, «Samuel Sarr est dépassé par la situation».
« Samuel Sarr est un habitué des promesses », soutient Mme Sow, teint noir, la tête couverte d’un foulard noir, toute de blanc vêtue et assise à l’arrêt bus des Allées du centenaire, près de la place de l'Obélisque. « Il ne fera rien de ce qu’il a promis », jure-t-elle. Près d’elle, une dame, qui coupe la parole : Comment Samuel Sarr peut-il réussir à résoudre ce problème d’électricité, n’est-ce pas lui qui était directeur de la SENELEC, sans rien faire de mieux ? s’interroge -t-elle.
Dans une boutique d’un opérateur de téléphonie mobile, ce sont les mêmes complaintes. « Depuis ce matin, nous sommes là, sans électricité », se plaint ce jeune homme d’une trentaine d’années qui ne croit pas une seule seconde aux promesses du ministre de l’Energie. « Je ne prêtais même pas attention à ce qu’il disait. Je sais que ce sera la même promesse qui ne sera pas respectée », prédit-il.
Près de la station Elton de Colobane, la frustration causée par la promesse du ministre d’Etat, ministre de l’Energie, Samuel Sarr est la même. « J’ai suivi à la télévision et j’ai entendu ce qu’il a dit, selon lui, ce problème est une petite erreur », raconte M. Alassane Ndong qui a décodé des signes de non respect du ministre de l’Energie à l’endroit des Sénégalais. « Je pense qu’il ne respecte pas les Sénégalais. Sinon, il aurait trouvé mieux à dire que de parler de petite erreur devant ces dommages causés par le manque d’électricité, partout à travers le pays », s’insurge M. Ndong.
D’autres personnes sont même fâchées, rien qu’en entendant le nom du ministre qui, selon eux est synonyme d’échec. « C’est clair que même le nom de Samuel Sarr sonne mal aux oreilles des Sénégalais », clame d’un ton ferme M. Sidy Samb qui déconseille aux parents de ne pas s’aventurer à donner ce nom à leurs progénitures parce qu’il est source de malheur. Selon lui, partout où le ministre est passé, c’est le malheur et la catastrophe. Il va même plus loin en demandant au chef de l’Etat de prendre ses responsabilités en écartant le ministre de la gestion des affaires publiques. Un conseil partagé par Amy Mbaye, une dame trouvée prés du marché des HLM,« j’ai écouté à la radio la séance parlementaire mais je vous assure que les premières réponses du ministre m’ont énervée parce qu’il ne disait rien de concret », tempête Amy Mbaye qui estime que la promesse du 15 août n’est qu’une promesse de plus qui ne sera jamais respectée. Selon elle, pour espérer des lendemains meilleurs, le chef de l’Etat doit se séparer de Samuel Sarr qui est devenu un véritable symbole d’échec ».
Ce torrent de colère amènera-t-il les autorités à changer de stratégies pour permettre aux Sénégalais de retrouver très vite un éclairage normal ? «Si à condition que le Président de la République, Me Abdoulaye Wade, reprenne la situation en main», préconise Assane Sall pour qui, «Samuel Sarr est dépassé par la situation».
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