Le dénouement scolaire est proche. Le cadre unitaire syndical de l’enseignement moyen secondaire (Cusems) et le ministre de l’éducation, Ibrahima Sall, ont convenu de la mise sur pied d’une plateforme de discussion autour des deux points essentiels de leurs revendication. Cette plateforme va être validée ce jeudi avant un second round de négociations entre les deux parties prévu demain vendredi. Les deux points essentiels qui seront abordés au cours de cette discussion portent sur l’alignement de l’indemnité de logement des enseignants ; celle des autres corps de l’administration et l’augmentation du salaire des vacataires.
A l’issue de cette première rencontre, le Cusems, seul syndicat encore en grève, a «salué les bonnes dispositions du gouvernement à trouver une réponse à leur plateforme.» Et selon Abdoulaye Ndoye, le syndicat est disposé pour une solution heureuse à la crise et attend des propositions du gouvernement. Toutes les parties ont rejeté la perspective d’une année blanche dans l’immédiat et pensent déjà aux modalités d’un réaménagement du calendrier scolaire qui sera discuté entre tous les acteurs. Au-delà de la crise actuelle, le ministre Ibrahima Sall a annoncé la mise sur pied d’un cadre de concertation anticipatif afin de préparer les rentrées en sériant les problèmes du secteur et leur apporter des solutions ensembles.
Pour prendre en charge l’ensemble du secteur et sortir des crises cycliques qui affectent l’école, le ministre a annoncé la mise sur pied d’un comité de préparation des assises de l’éducation. Tous les autres syndicats ont été reçus par le nouveau ministre pour une large concertation en vue de la préparation de ces assises. Tous les acteurs se sont unanimes pour sauver l’année scolaire. Seule voix discordante, c’est celle des élèves qui restent inflexibles sur leur position pour déclarer l’année blanche. De l’avis de Mouhamed Kouyaté porte parole du collectif des lycées de Dakar, «l’année blanche est consommée» mais personne ne veut en assumer la responsabilité, et les élèves ne veulent plus, ni ne peuvent retourner dans les classes.
Ils invitent l’Etat à constater le fait accompli et aller vite faire les états généraux pour préparer l’avenir de l’école. A ce niveau, les enseignants et les parents d’élèves ont tenté de les rappeler à l’ordre pour leur faire comprendre que la décision d’une année blanche n’est pas de leur ressort et leur est préjudiciable. Mais malgré cela, les camarades de Mouhamed Kouyaté sont intransigeants pas question de retourner dans les classes ni d’examens de fin d’années. Et dès ce jeudi, des actions sont annoncées pour bloquer le fonctionnement des écoles privées.
Dépêche – Sud Quotidien
A l’issue de cette première rencontre, le Cusems, seul syndicat encore en grève, a «salué les bonnes dispositions du gouvernement à trouver une réponse à leur plateforme.» Et selon Abdoulaye Ndoye, le syndicat est disposé pour une solution heureuse à la crise et attend des propositions du gouvernement. Toutes les parties ont rejeté la perspective d’une année blanche dans l’immédiat et pensent déjà aux modalités d’un réaménagement du calendrier scolaire qui sera discuté entre tous les acteurs. Au-delà de la crise actuelle, le ministre Ibrahima Sall a annoncé la mise sur pied d’un cadre de concertation anticipatif afin de préparer les rentrées en sériant les problèmes du secteur et leur apporter des solutions ensembles.
Pour prendre en charge l’ensemble du secteur et sortir des crises cycliques qui affectent l’école, le ministre a annoncé la mise sur pied d’un comité de préparation des assises de l’éducation. Tous les autres syndicats ont été reçus par le nouveau ministre pour une large concertation en vue de la préparation de ces assises. Tous les acteurs se sont unanimes pour sauver l’année scolaire. Seule voix discordante, c’est celle des élèves qui restent inflexibles sur leur position pour déclarer l’année blanche. De l’avis de Mouhamed Kouyaté porte parole du collectif des lycées de Dakar, «l’année blanche est consommée» mais personne ne veut en assumer la responsabilité, et les élèves ne veulent plus, ni ne peuvent retourner dans les classes.
Ils invitent l’Etat à constater le fait accompli et aller vite faire les états généraux pour préparer l’avenir de l’école. A ce niveau, les enseignants et les parents d’élèves ont tenté de les rappeler à l’ordre pour leur faire comprendre que la décision d’une année blanche n’est pas de leur ressort et leur est préjudiciable. Mais malgré cela, les camarades de Mouhamed Kouyaté sont intransigeants pas question de retourner dans les classes ni d’examens de fin d’années. Et dès ce jeudi, des actions sont annoncées pour bloquer le fonctionnement des écoles privées.
Dépêche – Sud Quotidien
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