C'est sur Europe 1 que Tristane Banon est revenue sur la douloureuse affaire DSK : "J’ai toujours considéré que cette affaire c’était un peu comme un cancer dans ma vie. C’est un petit peu comme si j’avais eu un très grave cancer, que j’étais en phase de rémission et qu’on me demande toujours comment s’était passée ma chimio. C’est pas facile pour essayer d’oublier au quotidien qu’on a eu un cancer."
La journaliste, chroniqueuse dans l'émission d'Eric Naulleau "Ça balance pas mal à Paris" sur Paris Première, se plaint de l'image qu'elle véhicule dorénavant : "Les maisons d’édition ne me considèrent plus comme 'un auteur' estime la jeune femme, mais comme 'un people d’actualité'. Je ne peux plus juste essayer de faire mes preuves dans mon coin puisque mon coin est scruté par beaucoup de gens".
De son côté, Mazarine Pingeot, interviewée dans le dernier "Technikart" par… Tristane Banon, avoue avoir écrit un manuscrit au moment de l'affaire du Sofitel de New York qu'elle n'a pas pu publier : "Je me le suis interdit par rapport au PS, par rapport à moi, par rapport aux conséquences. Ce que j’ai fait, c’est imaginer le tête-à-tête entre cet homme et sa femme, dans cet immense appartement, quand lui était assigné à résidence. L’angoisse, l’horreur de ce huis clos. Ça pourrait être une pièce de théâtre !
"Quand j’ai vu cet homme mal rasé, l’air hagard, menotté, j’ai aussi vu cet homme en qui je n’ai jamais cru, qui m’a toujours paru faux. Là, il y avait un moment de vérité, c’était SON moment de vérité. (…) J’ai une fascination pour les monstres. J’ai écrit sur une femme qui tuait ses enfants, c’était mon cinquième roman. (…) Le noir de l’âme humaine, c’est quelque chose qui m’intéresse d’un point de vue romanesque. Pour moi, DSK est un monstre parfait. Qu’il soit acculé à cette vérité, à la face du monde entier, c’est formidable d’un point de vue littéraire."
Et c'est dans son livre "Bon petit soldat" à paraître le 16 octobre que ce manuscrit sera entièrement dévoilé. Tristane Banon et Mazarine Pingeot, même combat !
Purepeople.com
La journaliste, chroniqueuse dans l'émission d'Eric Naulleau "Ça balance pas mal à Paris" sur Paris Première, se plaint de l'image qu'elle véhicule dorénavant : "Les maisons d’édition ne me considèrent plus comme 'un auteur' estime la jeune femme, mais comme 'un people d’actualité'. Je ne peux plus juste essayer de faire mes preuves dans mon coin puisque mon coin est scruté par beaucoup de gens".
De son côté, Mazarine Pingeot, interviewée dans le dernier "Technikart" par… Tristane Banon, avoue avoir écrit un manuscrit au moment de l'affaire du Sofitel de New York qu'elle n'a pas pu publier : "Je me le suis interdit par rapport au PS, par rapport à moi, par rapport aux conséquences. Ce que j’ai fait, c’est imaginer le tête-à-tête entre cet homme et sa femme, dans cet immense appartement, quand lui était assigné à résidence. L’angoisse, l’horreur de ce huis clos. Ça pourrait être une pièce de théâtre !
"Quand j’ai vu cet homme mal rasé, l’air hagard, menotté, j’ai aussi vu cet homme en qui je n’ai jamais cru, qui m’a toujours paru faux. Là, il y avait un moment de vérité, c’était SON moment de vérité. (…) J’ai une fascination pour les monstres. J’ai écrit sur une femme qui tuait ses enfants, c’était mon cinquième roman. (…) Le noir de l’âme humaine, c’est quelque chose qui m’intéresse d’un point de vue romanesque. Pour moi, DSK est un monstre parfait. Qu’il soit acculé à cette vérité, à la face du monde entier, c’est formidable d’un point de vue littéraire."
Et c'est dans son livre "Bon petit soldat" à paraître le 16 octobre que ce manuscrit sera entièrement dévoilé. Tristane Banon et Mazarine Pingeot, même combat !
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