Le procès de Karim Wade débute sous haute tension. Dès que le président de la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (CREI), a appelé à la barre les accusés, les avocats de Bibo Bourgi ont voulu parler de son état de santé. Mais Me El Hadji Diouf s’est catégoriquement opposé à la défense. En effet, il s’en est fallu de peu pour qu’ils en viennent aux mains. « Il n a rien à faire ou à dire, trop c’est trop, on a trop attendu. Bibo Bourgi n’a rien, on s’en fout », scande Me El Hadji qui soulève d’ailleurs un vacarme assourdissant dans la salle du tribunal.
A l’ouverture du procès le Juge Henri Grégoire Diop a demandé à Bibo Bougi de se présenter à la barre. Ainsi que Karim Wade. Il en a profité pour poser de questions aux infirmiers accompagnants, sur ce qui se trouvait dans les bouteilles de perfusion. L’infirmier ne pouvant donner une réponse, la Cour a expliqué pourquoi, ils ont refusé l’autorisation de sortie du territoire au témoin-clé du procès de Karim, pour aller se faire soigner à l’étranger.
« Les avocats de Bibo, disant que sa santé nécessité une autorisation urgente pour aller se faire soigner en France n’ont fourni aucun papier justificatif. L’argument avancé est que le médicament ne peut se trouver au Sénégal. Il y a jamais eu aucun document parlant de sa situation urologique. Le cardiologue sans jamais examiner Bibo Bourgi, a attendu le jour de la demande de comparution de Bibo pour donner ce diagnostic », sert Henri Grégoire Diop.
Selon lui, le médecin l’a appelé pour dire que son état de santé pour est incompatible avec sa comparution. Comment un médecin qui n’a jamais examiné une personne donne un diagnostic sur cette personne. Il a juste repris ce qu’il y avait dans les autres rapports. Lorsqu’on est allé voir les médecins de l’Hôpital Général de Grand-Yoff (HOGGY). Ils nous ont dit que les soins peuvent se faire ici», dit la Cour. Pis, selon le juge Henri Grégoire Diop, lors de son opération, il y avait sur son dossier « Diabète O » et il disait que la chronologie ne pouvait se faire ici ? Hors, ce n’est pas le cas. D’ailleurs l’hôpital a acquis un nouveau matériel qui coûte plus de d’un (1) milliard.
A l’ouverture du procès le Juge Henri Grégoire Diop a demandé à Bibo Bougi de se présenter à la barre. Ainsi que Karim Wade. Il en a profité pour poser de questions aux infirmiers accompagnants, sur ce qui se trouvait dans les bouteilles de perfusion. L’infirmier ne pouvant donner une réponse, la Cour a expliqué pourquoi, ils ont refusé l’autorisation de sortie du territoire au témoin-clé du procès de Karim, pour aller se faire soigner à l’étranger.
« Les avocats de Bibo, disant que sa santé nécessité une autorisation urgente pour aller se faire soigner en France n’ont fourni aucun papier justificatif. L’argument avancé est que le médicament ne peut se trouver au Sénégal. Il y a jamais eu aucun document parlant de sa situation urologique. Le cardiologue sans jamais examiner Bibo Bourgi, a attendu le jour de la demande de comparution de Bibo pour donner ce diagnostic », sert Henri Grégoire Diop.
Selon lui, le médecin l’a appelé pour dire que son état de santé pour est incompatible avec sa comparution. Comment un médecin qui n’a jamais examiné une personne donne un diagnostic sur cette personne. Il a juste repris ce qu’il y avait dans les autres rapports. Lorsqu’on est allé voir les médecins de l’Hôpital Général de Grand-Yoff (HOGGY). Ils nous ont dit que les soins peuvent se faire ici», dit la Cour. Pis, selon le juge Henri Grégoire Diop, lors de son opération, il y avait sur son dossier « Diabète O » et il disait que la chronologie ne pouvait se faire ici ? Hors, ce n’est pas le cas. D’ailleurs l’hôpital a acquis un nouveau matériel qui coûte plus de d’un (1) milliard.
Autres articles
-
Campagne de distribution de médicaments contre les MTN : And Gueusseum appelle à l'engagement de ses membres
-
Sénégalais morts à l'étranger : le bilan s'élève à 22 (liste des morts par pays)
-
Mali : un ressortissant sénégalais tué à Kéniéba
-
Kaolack : plusieurs cantines ravagées par un incendie au marché Guedj
-
Vacances de Noël fixées au 24 décembre à 18h par l'Ucad : la Coordination des étudiants Catholiques parle d'un "manque de considération"