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Le sort de la Société d’Aménagement et de Promotion des Côtes et zones touristiques (SAPCO) est scellé. Le ministre de l’Economie et des Finances, Amadou BA vient de bloquer les comptes de la SAPCO à travers un Avis à Tiers Détenteur (ATD) pour une dette fiscale de 4.241.914.906 F CFA.
«En application de l’article 662 de la loi de 2012-31 du 31 décembre 2012, le chef du Bureau du Recouvrement du Centre des Grandes Entreprises vous prie de lui verser immédiatement et en l’acquit de la SAPCO sur les sommes dont vous êtes détenteur ou débiteur à l’égard de ce dernier et qui représentent le montant du privilège du Trésor Public qui s’élève à la somme de 4. 241. 914. 906 FCFA correspondant aux droits dus par ce contribuable», lit-on dans la lettre n°000650 datée du 04 octobre 2013 et portant en-tête de la direction du Recouvrement du ministère de l’Economie et des Finances.
La SAPCO confrontée à de sérieuses difficultés avec la perte de plus de la moitié de son capital social court sans relâche derrière ses débiteurs parmi lesquels l’Institut Diambars de Saer Seck qui leur doit 456.457.019 F CFA et qui « n’a même pas répondu à leur lettre n° 1546/SAPCO/dg/pf du 29 novembre 2012 ».
Le second sur la liste des plus gros débiteurs de la dite société se trouve être le président sortant Wade qui doit 101. 453. 308 FCFA. Mais contrairement à Saer Seck, le prédécesseur de Macky Sall qui « bénéficie d’un bail sis à Saly Nord couvrant 28.813 m2 en bordure de mer, après avoir reçu sa lettre n°1542/SAPCO/dg/pf, a envoyé Samuel Sarr pour un moratoire mais depuis lors les choses sont au moins mort », indique un responsable de la société sur les colonnes du journal "l’observateur" qui précise qu'à l'origine de ces dettes de plus de 100 millions de F CFA, un bradage à vil prix des terres de Saly. "Une vieille forfaiture faite dans sa presque totalité sous l'ex-Directeur Général de la SAPCO, Ndiouga Sakho" sous l'ère de son oncle Wade qui a acquis son bail en 2003 au prix modique de 87 F CFA, le mètre carré alors que le prix était fixé à 435 F CFA,
«En application de l’article 662 de la loi de 2012-31 du 31 décembre 2012, le chef du Bureau du Recouvrement du Centre des Grandes Entreprises vous prie de lui verser immédiatement et en l’acquit de la SAPCO sur les sommes dont vous êtes détenteur ou débiteur à l’égard de ce dernier et qui représentent le montant du privilège du Trésor Public qui s’élève à la somme de 4. 241. 914. 906 FCFA correspondant aux droits dus par ce contribuable», lit-on dans la lettre n°000650 datée du 04 octobre 2013 et portant en-tête de la direction du Recouvrement du ministère de l’Economie et des Finances.
La SAPCO confrontée à de sérieuses difficultés avec la perte de plus de la moitié de son capital social court sans relâche derrière ses débiteurs parmi lesquels l’Institut Diambars de Saer Seck qui leur doit 456.457.019 F CFA et qui « n’a même pas répondu à leur lettre n° 1546/SAPCO/dg/pf du 29 novembre 2012 ».
Le second sur la liste des plus gros débiteurs de la dite société se trouve être le président sortant Wade qui doit 101. 453. 308 FCFA. Mais contrairement à Saer Seck, le prédécesseur de Macky Sall qui « bénéficie d’un bail sis à Saly Nord couvrant 28.813 m2 en bordure de mer, après avoir reçu sa lettre n°1542/SAPCO/dg/pf, a envoyé Samuel Sarr pour un moratoire mais depuis lors les choses sont au moins mort », indique un responsable de la société sur les colonnes du journal "l’observateur" qui précise qu'à l'origine de ces dettes de plus de 100 millions de F CFA, un bradage à vil prix des terres de Saly. "Une vieille forfaiture faite dans sa presque totalité sous l'ex-Directeur Général de la SAPCO, Ndiouga Sakho" sous l'ère de son oncle Wade qui a acquis son bail en 2003 au prix modique de 87 F CFA, le mètre carré alors que le prix était fixé à 435 F CFA,
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