Le drapeau de l'ambassade américaine au Caire, arraché par des manifestants, contre un film jugé offensant pour l'islam, produit par un promoteur américao-israélien. TOPSHOTS/AFP PHOTO/KHALED DESOUKI
C’est un promoteur israélo-américain vivant en Californie qui est à l’origine de ce film de treize minutes.
Interrogé par le Wall Street Journal, lundi soir, Sam Bacile affirme que son film est « politique » et non pas «religieux », qu’il a travaillé avec 60 acteurs et plus de 45 personnes pour le tournage, et qu’il a financé le tout en levant près de 5 millions de dollars de fonds auprès de donateurs juifs qu’il n’a pas identifiés.
La mise en ligne de ce « film » a en tout cas suscité des milliers de réactions, aux Etats-Unis. Colère des uns, indignation des autres que l’on ose s’attaquer à la sacro-sainte liberté d’expression protégée aux Etats-Unis par la Constitution.
Le pasteur Jones, en Floride, qui avait déjà tant fait parler de lui par le passé, notamment en brûlant publiquement un exemplaire du Coran, organisait ce lundi le « procès de Mahomet ». Elément déclencheur ou récupération ?
Faisant d’abord référence à l’attaque de l’ambassade américaine au Caire, Terry Jones entendait utiliser un extrait du film incriminé avant que la diffusion sur internet ne soit interrompue.
Source: RFI
Interrogé par le Wall Street Journal, lundi soir, Sam Bacile affirme que son film est « politique » et non pas «religieux », qu’il a travaillé avec 60 acteurs et plus de 45 personnes pour le tournage, et qu’il a financé le tout en levant près de 5 millions de dollars de fonds auprès de donateurs juifs qu’il n’a pas identifiés.
La mise en ligne de ce « film » a en tout cas suscité des milliers de réactions, aux Etats-Unis. Colère des uns, indignation des autres que l’on ose s’attaquer à la sacro-sainte liberté d’expression protégée aux Etats-Unis par la Constitution.
Le pasteur Jones, en Floride, qui avait déjà tant fait parler de lui par le passé, notamment en brûlant publiquement un exemplaire du Coran, organisait ce lundi le « procès de Mahomet ». Elément déclencheur ou récupération ?
Faisant d’abord référence à l’attaque de l’ambassade américaine au Caire, Terry Jones entendait utiliser un extrait du film incriminé avant que la diffusion sur internet ne soit interrompue.
Source: RFI
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