« Sous la direction éclairée d’Ellen Johnson-Sirleaf, la présidente du Libéria, les décideurs de tout le continent sont en train de mettre la dernière touche à un document crucial, qui représente une position africaine commune sur le programme de développement destiné à remplacer les objectifs du millénaire pour le développement (OMD) après 2015. » C’est l’ancien président du Mozambique, Joaquim Chissano qui donne ces informations dans une Tribune publiée dans le Jeune Afrique n°2768 du 26 janvier au 1er février 2014. Chissano qui est le coprésident du groupe de travail de haut niveau pour la Conférence internationale sur la population et le développement (CIPD) est revenu largement sur des questions qui touchent les droits des personnes.
« (…). Nous souhaitons que chacun puisse choisir la personne avec qui il voudrait se marier ou avoir des enfants, sans aucune forme de coercition ou de violence ». Joaquim Chissano qui le dit soutient que « nous ne pouvons plus nous permettre d’accepter la discrimination entre les personnes en fonction de l’âge, du sexe, de l’origine, de l’identité de genre et de l’orientation sexuelle. Nous avons besoin de libérer le plein potentiel de tout un chacun. En tant qu’Africain d’un certain âge, je comprends que certains puissent se méfier encore de ces idées. Mais il suffit de prendre du recul pour constater que l’évolution générale de l’histoire de l’humanité, surtout au cours du dernier siècle, est marquée par l’expansion des libertés et des droits humains ».
Et l’ancien chef d’Etat mozambicain de dire aux dirigeants africains qu’ « ils devraient être à l’avant-garde de ce mouvement, sans aucune retenue, surtout en ce moment critique ».
Et Joaquim Chissano qui s’engage avec ses pairs à définir un certain agenda international cherche des arguments auprès de Nelson Mandéla qu’il cite « être libre ne signifie pas seulement se débarrasser de ses chaînes, nous a rappelé Nelson Mandela, mais vivre d’une façon qui respecte et consolide la liberté des autres ».
« (…). Nous souhaitons que chacun puisse choisir la personne avec qui il voudrait se marier ou avoir des enfants, sans aucune forme de coercition ou de violence ». Joaquim Chissano qui le dit soutient que « nous ne pouvons plus nous permettre d’accepter la discrimination entre les personnes en fonction de l’âge, du sexe, de l’origine, de l’identité de genre et de l’orientation sexuelle. Nous avons besoin de libérer le plein potentiel de tout un chacun. En tant qu’Africain d’un certain âge, je comprends que certains puissent se méfier encore de ces idées. Mais il suffit de prendre du recul pour constater que l’évolution générale de l’histoire de l’humanité, surtout au cours du dernier siècle, est marquée par l’expansion des libertés et des droits humains ».
Et l’ancien chef d’Etat mozambicain de dire aux dirigeants africains qu’ « ils devraient être à l’avant-garde de ce mouvement, sans aucune retenue, surtout en ce moment critique ».
Et Joaquim Chissano qui s’engage avec ses pairs à définir un certain agenda international cherche des arguments auprès de Nelson Mandéla qu’il cite « être libre ne signifie pas seulement se débarrasser de ses chaînes, nous a rappelé Nelson Mandela, mais vivre d’une façon qui respecte et consolide la liberté des autres ».
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