« Ce qu’on a changé comme méthodes dans la déclaration de patrimoine, c’est la rencontre avec les départements ministériels pour l’effet protecteur de la déclaration de patrimoine, ses intérêts par rapport à l’enrichissement illicite éventuel qu’on pourrait reprocher à un fonctionnaire ou un agent du secteur publique. Nous avons enregistré un taux assez important de déclarations depuis que nous avons initié cette méthode. Cette nouvelle méthode consiste à communiquer de façon plus institutionnelle en faisant comprendre aux assujettis que cela a un effet protecteur pour eux. Depuis le mois de mai, cela a évolué. On a eu au moins plus de cinquante (50) déclarations de patrimoine », a déclaré Seynabou Ndiaye Diakhaté.
La présidente de l’Office national de lutte contre fraude et la corruption s’est ainsi prononcée en marge de l’atelier de partage du Plan Stratégique 2017-2021 de l’Office ouvert ce mardi. Ce, pour « permettre à l’OFNAC de partager avec l’Administration, la société civile, le secteur privé, les partenaires techniques et financiers, les orientations du Plan Stratégique pour la période 2017-2021 ».
« La mise ne œuvre de cet ambitieux plan permettra de renforcer la lutte contre la fraude et la corruption au Sénégal en consolidant le dispositif national de promotion de la bonne gouvernance, conformément à la volonté politique du Chef de l’Etat d’instaurer l’intégrité et la probité dans la gestion des affaires publiques. Il s’agira de mettre à la disposition de l’ensemble des acteurs du secteur de la gouvernance, les orientations stratégiques de l’Office, d’établir un partenariat stratégique pour mieux lutter contre la fraude et la corruption, de fédérer autour d’un cadre d’échanges de proximité les objectifs du plan, les valeurs et les comportements à promouvoir et de dégager des synergies vers des plans d’actions communs de lutte contre la fraude et la corruption ».
Et, « pour remplir efficacement (cette) mission », l’OFNAC a pris l’option de se doter d’un plan stratégique comme « cadre de référence de son intervention pour la période 2017-2021 » ; un plan qui « prend en compte les enjeux et défis inhérents à la lutte contre la fraude et la corruption » et s’articule autour de deux (2) orientations majeures : « Contribuer à la promotion de la bonne gouvernance dans les secteurs public et privé par des actions de nature à améliorer le cadre juridique pour mieux l’adapter à la lutte contre la fraude et la corruption (et) mettre en place une organisation à même d’assurer les missions de l’OFNAC et de porter la vision par le renforcement institutionnel de l’office tant au niveau humain, matériel que financier ».
Ce, au moment où le PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement) invite l’OFNAC à renforcer sa stratégie de lutte. « Globalement, la corruption est un frein au développement. Elle menace les droits de l’homme, la paix et la sécurité », prévient le représentant de l’institution tout en invitant « l’OFNAC à adopter dans les mois qui viennent une stratégie nationale de lutte contre la corruption à l’instar de nombreux pays africains afin de pouvoir opérationnaliser son plan stratégique ».
La présidente de l’Office national de lutte contre fraude et la corruption s’est ainsi prononcée en marge de l’atelier de partage du Plan Stratégique 2017-2021 de l’Office ouvert ce mardi. Ce, pour « permettre à l’OFNAC de partager avec l’Administration, la société civile, le secteur privé, les partenaires techniques et financiers, les orientations du Plan Stratégique pour la période 2017-2021 ».
« La mise ne œuvre de cet ambitieux plan permettra de renforcer la lutte contre la fraude et la corruption au Sénégal en consolidant le dispositif national de promotion de la bonne gouvernance, conformément à la volonté politique du Chef de l’Etat d’instaurer l’intégrité et la probité dans la gestion des affaires publiques. Il s’agira de mettre à la disposition de l’ensemble des acteurs du secteur de la gouvernance, les orientations stratégiques de l’Office, d’établir un partenariat stratégique pour mieux lutter contre la fraude et la corruption, de fédérer autour d’un cadre d’échanges de proximité les objectifs du plan, les valeurs et les comportements à promouvoir et de dégager des synergies vers des plans d’actions communs de lutte contre la fraude et la corruption ».
Et, « pour remplir efficacement (cette) mission », l’OFNAC a pris l’option de se doter d’un plan stratégique comme « cadre de référence de son intervention pour la période 2017-2021 » ; un plan qui « prend en compte les enjeux et défis inhérents à la lutte contre la fraude et la corruption » et s’articule autour de deux (2) orientations majeures : « Contribuer à la promotion de la bonne gouvernance dans les secteurs public et privé par des actions de nature à améliorer le cadre juridique pour mieux l’adapter à la lutte contre la fraude et la corruption (et) mettre en place une organisation à même d’assurer les missions de l’OFNAC et de porter la vision par le renforcement institutionnel de l’office tant au niveau humain, matériel que financier ».
Ce, au moment où le PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement) invite l’OFNAC à renforcer sa stratégie de lutte. « Globalement, la corruption est un frein au développement. Elle menace les droits de l’homme, la paix et la sécurité », prévient le représentant de l’institution tout en invitant « l’OFNAC à adopter dans les mois qui viennent une stratégie nationale de lutte contre la corruption à l’instar de nombreux pays africains afin de pouvoir opérationnaliser son plan stratégique ».
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