Des chiffres et statistiques contenues dans les 2e et 3e rapports périodiques combinés devant le Comité des Nations Unies pour la Protection de tous les travailleurs migrants et des membres de leurs familles présentés par le Sénégal les 13 et 14 avril 2016, à Genève (Suisse). L’étude révèle en outre que les principales destinations des jeunes sont l’Europe (44,4%) et les pays de l’Afrique centrale (27,5%), selon la même source soulignant que le motif principal a été le travail (73,5%).
S’agissant de l’immigration internationale, le Sénégal a accueilli 244 953 étrangers, soit 2,0% de la population, l’essentiel de ces immigrants venant de l’Afrique de l’ouest avec 84,4%.
Selon les deux rapports, «il apparaît que l’immigration internationale affecte tous les âges même si les groupes d’âges jeunes sont plus concernés. Ainsi, il y a 14,2% entre 20 - 24 ans et 13, 9% pour les 25-29 ans, 13,9% », souligne les rapports. Des informations livrées par l’Agence de presse sénégalaise (APS).
D’après toujours cette étude « le niveau élevé de la migration dans ces derniers groupes d’âge s’explique depuis le début des années 2000 par la scolarité », explique t-on.
Ainsi « il convient de noter à ce niveau que la migration féminine est plus importante que celle masculine, mais elle diminue à partir de 30 ans en faveur de celle des hommes, mentionnent les documents », précise les documents.
Et, pour ce qui est de l’émigration internationale, l’analyse par sexe et selon l’âge montre que chez les femmes les départs sont plus importants entre 20-24 et 25-29 avec respectivement 20,0% et 17,1%. Toujours pour ce même groupe d’âge on a respectivement 80,0% et 82,9% pour les hommes. Entre 45 et 65 ans les hommes représentent plus de 90%".
Dans la foulée les rapports en montré que « le Sénégal a pris différentes mesures dans le cadre de la mise en œuvre de chacun des droits énoncés dans la Convention internationale sur la Protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille. Le pays a également a ratifié la presque totalité des instruments internationaux et régionaux de protection des droits de l’homme », souligne les deux rapports.
Il en est ainsi par exemple de la Déclaration universelle des droits de l’homme (DUDH), du Pacte international sur les droits civils et politiques (PIDCP), du Pacte international sur les droits économiques, sociaux et culturels et de la Convention sur les travailleurs migrants et des membres de leur famille.
S’agissant de l’immigration internationale, le Sénégal a accueilli 244 953 étrangers, soit 2,0% de la population, l’essentiel de ces immigrants venant de l’Afrique de l’ouest avec 84,4%.
Selon les deux rapports, «il apparaît que l’immigration internationale affecte tous les âges même si les groupes d’âges jeunes sont plus concernés. Ainsi, il y a 14,2% entre 20 - 24 ans et 13, 9% pour les 25-29 ans, 13,9% », souligne les rapports. Des informations livrées par l’Agence de presse sénégalaise (APS).
D’après toujours cette étude « le niveau élevé de la migration dans ces derniers groupes d’âge s’explique depuis le début des années 2000 par la scolarité », explique t-on.
Ainsi « il convient de noter à ce niveau que la migration féminine est plus importante que celle masculine, mais elle diminue à partir de 30 ans en faveur de celle des hommes, mentionnent les documents », précise les documents.
Et, pour ce qui est de l’émigration internationale, l’analyse par sexe et selon l’âge montre que chez les femmes les départs sont plus importants entre 20-24 et 25-29 avec respectivement 20,0% et 17,1%. Toujours pour ce même groupe d’âge on a respectivement 80,0% et 82,9% pour les hommes. Entre 45 et 65 ans les hommes représentent plus de 90%".
Dans la foulée les rapports en montré que « le Sénégal a pris différentes mesures dans le cadre de la mise en œuvre de chacun des droits énoncés dans la Convention internationale sur la Protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille. Le pays a également a ratifié la presque totalité des instruments internationaux et régionaux de protection des droits de l’homme », souligne les deux rapports.
Il en est ainsi par exemple de la Déclaration universelle des droits de l’homme (DUDH), du Pacte international sur les droits civils et politiques (PIDCP), du Pacte international sur les droits économiques, sociaux et culturels et de la Convention sur les travailleurs migrants et des membres de leur famille.
Autres articles
-
Actes de vandalisme à l’Université de Ziguinchor : le SAES dénonce et demande l’ouverture d’une enquête
-
Ziguinchor : Mgr Valter Manga rejoint le collège des Évêques
-
Médina Baye : un mort et plusieurs blessés dans l’effondrement d’une dalle
-
Adama Gaye placé en garde à vue : Alioune Tine exige sa libération immédiate
-
15e législature : la Société civile Jonction espère des lois garantissant un accès continu à Internet