Les obligations -prévues pour 2016- mettront des ressources financières additionnelles à la disposition des pays participants afin d'aider leurs investissements d'adaptation au climat, lors de catastrophes climatiques telles que la sécheresse, la canicule, les inondations ou les cyclones de plus en plus intenses et récurrents à travers le continent.
Les experts estiment que l'Afrique a besoin d'investir entre 10 et 20 milliards de dollars par an d'ici 2050pour se préparer aux 2°C de réchauffement climatique de la planète.
« L'Afrique a besoin de solutions. Le programme XCF mettra à la disposition des nations africaines un nouveau mécanisme de financement pour gérer les risques climatiques en fournissant un accès direct à un nouveau capital privé et en exploitant les contributions des partenaires au développement. Nous ouvrons la voie à un financement innovant pour le climat »,a expliqué le Dr Ngozi Okonio-Iweala, ministre nigérian des Finances et Président du Conseil de direction de l'ARC, en prélude au sommet des Nations Unies pour le climat à New York.
Suite à cette annonce, l'ARC travaillera avec les états africains et leurs partenaires dans le but de mettre en place une forme efficace et juste de XCF quand les nations se réuniront l'année prochaine à la conférence des Nations Unies pour le changement climatique, à Paris.
Une fois mis en place, le XCF sera entièrement objectif et se basera sur des données concrètes, en utilisant la climatologie africaine sur les 30 dernières années comme base de référentiel. Des informations météorologiques consistantes couvrant l'ensemble du continent sont disponibles depuis l'avènement de l'ère des satellites au début des années 1980 et seront utilisées pour calculer l'index multirisque de climat extrême pour chaque région en Afrique.
L'indice permettra de suivre l'augmentation de la fréquence et de l'ampleur des phénomènes météorologiques extrêmes en comparaison et à partir d'une base de références pour chaque région du continent. Lorsque l'index dépassera un seuil prédéfini, des échéances d'obligations seront automatiquement allouées aux pays dans les régions affectées et seront utilisées pour stimuler les efforts d'adaptation ou améliorer les mécanismes de gestion des risques de désastre.
« Les changements climatiques ne connaissent pas de frontières. Nous avons besoin de solutions opérationnelles qui serviront de canal aux fonds de changements climatiques et augmenter l'accès direct aux financements climatiques. Il est devenu vital de minimiser le risque aux plus vulnérables. Je souhaite tout le succès à l'ARC », a déclaré Mme Christiana Figueres, Sécrétaire exécutive de la Convention sur les changements climatiques des Nations Unies.
Les experts estiment que l'Afrique a besoin d'investir entre 10 et 20 milliards de dollars par an d'ici 2050pour se préparer aux 2°C de réchauffement climatique de la planète.
« L'Afrique a besoin de solutions. Le programme XCF mettra à la disposition des nations africaines un nouveau mécanisme de financement pour gérer les risques climatiques en fournissant un accès direct à un nouveau capital privé et en exploitant les contributions des partenaires au développement. Nous ouvrons la voie à un financement innovant pour le climat »,a expliqué le Dr Ngozi Okonio-Iweala, ministre nigérian des Finances et Président du Conseil de direction de l'ARC, en prélude au sommet des Nations Unies pour le climat à New York.
Suite à cette annonce, l'ARC travaillera avec les états africains et leurs partenaires dans le but de mettre en place une forme efficace et juste de XCF quand les nations se réuniront l'année prochaine à la conférence des Nations Unies pour le changement climatique, à Paris.
Une fois mis en place, le XCF sera entièrement objectif et se basera sur des données concrètes, en utilisant la climatologie africaine sur les 30 dernières années comme base de référentiel. Des informations météorologiques consistantes couvrant l'ensemble du continent sont disponibles depuis l'avènement de l'ère des satellites au début des années 1980 et seront utilisées pour calculer l'index multirisque de climat extrême pour chaque région en Afrique.
L'indice permettra de suivre l'augmentation de la fréquence et de l'ampleur des phénomènes météorologiques extrêmes en comparaison et à partir d'une base de références pour chaque région du continent. Lorsque l'index dépassera un seuil prédéfini, des échéances d'obligations seront automatiquement allouées aux pays dans les régions affectées et seront utilisées pour stimuler les efforts d'adaptation ou améliorer les mécanismes de gestion des risques de désastre.
« Les changements climatiques ne connaissent pas de frontières. Nous avons besoin de solutions opérationnelles qui serviront de canal aux fonds de changements climatiques et augmenter l'accès direct aux financements climatiques. Il est devenu vital de minimiser le risque aux plus vulnérables. Je souhaite tout le succès à l'ARC », a déclaré Mme Christiana Figueres, Sécrétaire exécutive de la Convention sur les changements climatiques des Nations Unies.
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