
Les autorités algériennes ont décidé de couper, depuis le mercredi 20 juin, la connexion Internet une heure avant le début de chaque épreuve de l'examen du baccalauréat qui va durer cinq jours.
Cette mesure vise à lutter contre la triche et la fuite des sujets de l'examen du baccalauréat.
Ces deux phénomènes ont pris des proportions importantes depuis plusieurs années dans le pays.
En 2016, la fuite massive des sujets, via les réseaux sociaux, a contraint le gouvernement à organiser une seconde session de cet examen.
L'interruption d'Internet est considérée par la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, comme étant " la seule alternative " pour donner une chance égale aux candidats, en attendant une " solution définitive " qui ne peut être que pédagogique, a-t-elle souligné.
En plus de la coupure d'Internet une heure avant le début de chaque épreuve, le gouvernement a interdit l'introduction du téléphone mobile, des tablettes et autres gadgets électroniques de communication dans les centres d'examen. Cette mesure touche les candidats, mais également les enseignants, surveillants et le personnel administratif.
Des brouilleurs et des caméras de surveillance sont installés au niveau des centres de dépôts des sujets.
Par ailleurs, 18 000 policiers ont été déployés à proximité des centres d'examen qui accueillent plus de 700 000 candidats, dont 40% de candidats libres.
Cette mesure vise à lutter contre la triche et la fuite des sujets de l'examen du baccalauréat.
Ces deux phénomènes ont pris des proportions importantes depuis plusieurs années dans le pays.
En 2016, la fuite massive des sujets, via les réseaux sociaux, a contraint le gouvernement à organiser une seconde session de cet examen.
L'interruption d'Internet est considérée par la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, comme étant " la seule alternative " pour donner une chance égale aux candidats, en attendant une " solution définitive " qui ne peut être que pédagogique, a-t-elle souligné.
En plus de la coupure d'Internet une heure avant le début de chaque épreuve, le gouvernement a interdit l'introduction du téléphone mobile, des tablettes et autres gadgets électroniques de communication dans les centres d'examen. Cette mesure touche les candidats, mais également les enseignants, surveillants et le personnel administratif.
Des brouilleurs et des caméras de surveillance sont installés au niveau des centres de dépôts des sujets.
Par ailleurs, 18 000 policiers ont été déployés à proximité des centres d'examen qui accueillent plus de 700 000 candidats, dont 40% de candidats libres.
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