Face à ces critiques visant la ministre des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires, le syndicat des travailleurs de la pêche et de l’aquaculture du Sénégal (SYTRAPAS) monte au créneau. Son secrétaire général, Omar Dramé condamne fermement ces attaques et réitère son soutien à la ministre, l'encourageant à poursuivre ses efforts en faveur d'une gestion durable des ressources halieutiques, tout en prônant le dialogue avec l’ensemble des acteurs du secteur.
« Au-delà de la défense des intérêts matériels et moraux des travailleurs, le SYTRAPAS défend aussi le secteur si toute personne tente de faire de la désinformation par rapport à sa sortie sur le monofilament. La ministre a rappelé les dispositions de la loi qui interdisent l'importation, la mise en vente, l'achat et la détention ainsi que l'utilisation des filets à partir d'éléments monofilament et multifilament. Il est clair qu'une loi est faite pour être appliquée et les acteurs étaient tous d'accords lors de l'élaboration du Code de la pêche en 1998 et de sa dernière version en 2005 pour l'éradication et l'interdiction de l'utilisation des monofilaments », a déclaré Omar Dramé.
Par ailleurs, le secrétaire général du SYTRAPAS revient sur l’aspect de la subvention. « L'autre aspect concerne la subvention des moteurs hors-bord depuis 2014, qui était inscrite au programme de l'État du Sénégal pour accompagner les acteurs. Nous sommes en phase avec l’autorité… Le Syndicat de travail de la pêche et de l’aquaculture du Sénégal soutient et encourage le ministre à continuer à apporter des solutions définitives et durables conformément aux textes en vigueur. Il a invité les acteurs à poursuivre le dialogue pour le bien-être du secteur. La préservation de la ressource doit être une affaire de tous », martèle Omar Dramé au micro d’iRadio.
« Au-delà de la défense des intérêts matériels et moraux des travailleurs, le SYTRAPAS défend aussi le secteur si toute personne tente de faire de la désinformation par rapport à sa sortie sur le monofilament. La ministre a rappelé les dispositions de la loi qui interdisent l'importation, la mise en vente, l'achat et la détention ainsi que l'utilisation des filets à partir d'éléments monofilament et multifilament. Il est clair qu'une loi est faite pour être appliquée et les acteurs étaient tous d'accords lors de l'élaboration du Code de la pêche en 1998 et de sa dernière version en 2005 pour l'éradication et l'interdiction de l'utilisation des monofilaments », a déclaré Omar Dramé.
Par ailleurs, le secrétaire général du SYTRAPAS revient sur l’aspect de la subvention. « L'autre aspect concerne la subvention des moteurs hors-bord depuis 2014, qui était inscrite au programme de l'État du Sénégal pour accompagner les acteurs. Nous sommes en phase avec l’autorité… Le Syndicat de travail de la pêche et de l’aquaculture du Sénégal soutient et encourage le ministre à continuer à apporter des solutions définitives et durables conformément aux textes en vigueur. Il a invité les acteurs à poursuivre le dialogue pour le bien-être du secteur. La préservation de la ressource doit être une affaire de tous », martèle Omar Dramé au micro d’iRadio.
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