Les mutilations génitales féminines sont une norme sociale, une pratique traditionnelle qui se faisait depuis 2000 an. L’excision est pratiquée dans de nombreux pays africains, au Moyen-Orient et dans certaines communautés d’immigrants en Europe, a déclaré Mme Ngom.
Poursuivant, la Directrice de la Famille à Plan international révèle que « chaque année les statistiques ont montré que plus 140 millions de filles sont excisées dans le monde dont 3 millions pour le continent africain. Au Sénégal, depuis 1970, l’Etat s’est engagé à protéger les droits des femmes ainsi que des filles contre l’excision ».
"Plusieurs fondements de la pratique de l’excision ont été notés par Mame Ngom. Notamment, les raisons hygiénistes et natalistes, des arguments religieux, des arguments historiques, les raisons initiatiques."
Avant d’ajouter «au Sénégal, 1/4 des femmes âgées environ de 15 à 49 ans sont excisées, soit 23% selon la dernière enquête démographique de santé (EDS) de 2016. Si nous prenons le cas des filles âgées de moins de 15 ans, la prévalence est à 13%. Mais on note des disparités selon les régions. Car, les zones les plus touchées sont le Nord avec 28% et les régions du Sud 78%. En milieu rural, le taux de prévalence est de 37% et en milieu urbain 19% ».
Les filles de moins de 5 ans sont les plus exposées
Cependant, pour Mme Ngom, l’excision n’est pas pratiquée comme un rite de passage à l’âge adulte. Parce que durant le passage de l’enfance à l’adolescence, la fille est excisée. Donc, 90% des filles âgées de 15 à 19 ont été excisées avant l’âge de 10 ans. Ce qui veut dire que les filles âge de moins de 5 ans sont les plus exposées.
Entre 2013 et 2015, 75% des filles sont de plus en plus nombreuses à être excisées avant l’âge de 5 ans, soit 75% en 2015 contre 70% en 2016.
De nombreuses actions sont menées pour l’abondons de la pratique de l’excision. Au niveau national, il y a eu l’adoption d’une loi depuis 1999 pour interdire l’excision. Des plans d’actions quinquennaux ont été élaborés pour voir les avancées notoires.
Parmi, les résultats obtenus, il y a l’intégration des mutilations génitales féminines dans les politiques, normes et protocoles de santé et le renforcement du plaidoyer pour l’abandon de l’excision.
Poursuivant, la Directrice de la Famille à Plan international révèle que « chaque année les statistiques ont montré que plus 140 millions de filles sont excisées dans le monde dont 3 millions pour le continent africain. Au Sénégal, depuis 1970, l’Etat s’est engagé à protéger les droits des femmes ainsi que des filles contre l’excision ».
"Plusieurs fondements de la pratique de l’excision ont été notés par Mame Ngom. Notamment, les raisons hygiénistes et natalistes, des arguments religieux, des arguments historiques, les raisons initiatiques."
Avant d’ajouter «au Sénégal, 1/4 des femmes âgées environ de 15 à 49 ans sont excisées, soit 23% selon la dernière enquête démographique de santé (EDS) de 2016. Si nous prenons le cas des filles âgées de moins de 15 ans, la prévalence est à 13%. Mais on note des disparités selon les régions. Car, les zones les plus touchées sont le Nord avec 28% et les régions du Sud 78%. En milieu rural, le taux de prévalence est de 37% et en milieu urbain 19% ».
Les filles de moins de 5 ans sont les plus exposées
Cependant, pour Mme Ngom, l’excision n’est pas pratiquée comme un rite de passage à l’âge adulte. Parce que durant le passage de l’enfance à l’adolescence, la fille est excisée. Donc, 90% des filles âgées de 15 à 19 ont été excisées avant l’âge de 10 ans. Ce qui veut dire que les filles âge de moins de 5 ans sont les plus exposées.
Entre 2013 et 2015, 75% des filles sont de plus en plus nombreuses à être excisées avant l’âge de 5 ans, soit 75% en 2015 contre 70% en 2016.
De nombreuses actions sont menées pour l’abondons de la pratique de l’excision. Au niveau national, il y a eu l’adoption d’une loi depuis 1999 pour interdire l’excision. Des plans d’actions quinquennaux ont été élaborés pour voir les avancées notoires.
Parmi, les résultats obtenus, il y a l’intégration des mutilations génitales féminines dans les politiques, normes et protocoles de santé et le renforcement du plaidoyer pour l’abandon de l’excision.
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