Parmi ces organisations, les plus connues au Sénégal sont :Amnesty international ,Fédération internationale des ligues des droits de l'Homme, Human Rights Watch, ONDH : Organisation nationale des droits de l'Homme (Sénégal),RADDHO : Rencontre africaine pour les droits de l'Homme (Sénégal).
Elles constatent que : « les scènes de violence qui ont marqué la campagne électorale pour le second tour de l’élection présidentielle et les interventions disproportionnées des forces de défense et de sécurité qui se seraient rendues responsables de violations graves des droits humains (agressions, arrestations et détentions arbitraires, vols, violations de domicile) constituent des actes contraires au droit national et, pour ce qui concerne les forces de sécurité de l'État, des actes violant le droit international des droits humains. Ces faits soulignent à nouveau, comme lors des événements du 28 septembre 2009 et ceux de 2007, l’impunité dont jouissent toujours les membres des forces de défense et de sécurité impliqués dans des violations des droits humains ».
« Nos organisations dénoncent aussi toutes velléités ou volontés de dresser les communautés nationales les unes contre les autres, et dont l'objectif principal serait de saper le processus de transition en hypothéquant la tenue du second tour et porter atteinte à l’avènement de la démocratie en Guinée » peut-on lire dans ce communiqué conjoint de ces organisations.
Elles constatent que : « les scènes de violence qui ont marqué la campagne électorale pour le second tour de l’élection présidentielle et les interventions disproportionnées des forces de défense et de sécurité qui se seraient rendues responsables de violations graves des droits humains (agressions, arrestations et détentions arbitraires, vols, violations de domicile) constituent des actes contraires au droit national et, pour ce qui concerne les forces de sécurité de l'État, des actes violant le droit international des droits humains. Ces faits soulignent à nouveau, comme lors des événements du 28 septembre 2009 et ceux de 2007, l’impunité dont jouissent toujours les membres des forces de défense et de sécurité impliqués dans des violations des droits humains ».
« Nos organisations dénoncent aussi toutes velléités ou volontés de dresser les communautés nationales les unes contre les autres, et dont l'objectif principal serait de saper le processus de transition en hypothéquant la tenue du second tour et porter atteinte à l’avènement de la démocratie en Guinée » peut-on lire dans ce communiqué conjoint de ces organisations.
Autres articles
-
Nouveau format des comptes-rendus du Conseil des ministres : l'analyse d'un expert
-
🔴Suivez en Direct « Ça Vous Regarde » avec le député Matar Sylla
-
Assainissement des finances publiques : le chef de l'État exhorte le Gouvernement à la poursuite des efforts
-
Nomination : la DGID a un nouveau directeur général
-
Conseil des ministres : les nominations du jour