« On a commencé le travail concernant le projet du HCR relatif à la lutte contre l’apatridie. C’est un projet qui se passe plutôt bien, donc plus que ce qu’on avait espéré. Dans la mesure où nous avons plus d’apatrides qu’on croyait avoir », indique Aïssatou Sène sur Sud fm.
La Juriste à ACDEV d’expliquer : « L’apatride est une personne qui n’a pas de nationalité, qui n’appartient à aucun pays. Il n’y a aucun pays qui puisse exercer sa souveraineté sur une telle personne. En retour, cette personne ne pourra pas bénéficier des droits et avantages que ce pays peut offrir à ses citoyens ».
Ledit projet a permis de recenser 150 cas, en quinze (15) jours. « Sur le profil, nous avons beaucoup d’élèves en classe d’examen, des étrangers qui sont venus à Yeumbeul mais aussi des pères et des mères de famille. En tout cas, il y a plus d’élèves que de personnes adultes », renseigne la Juriste.
La Juriste à ACDEV d’expliquer : « L’apatride est une personne qui n’a pas de nationalité, qui n’appartient à aucun pays. Il n’y a aucun pays qui puisse exercer sa souveraineté sur une telle personne. En retour, cette personne ne pourra pas bénéficier des droits et avantages que ce pays peut offrir à ses citoyens ».
Ledit projet a permis de recenser 150 cas, en quinze (15) jours. « Sur le profil, nous avons beaucoup d’élèves en classe d’examen, des étrangers qui sont venus à Yeumbeul mais aussi des pères et des mères de famille. En tout cas, il y a plus d’élèves que de personnes adultes », renseigne la Juriste.