La Cour des comptes du Sénégal a accueilli la deuxième partie des travaux de la 15e assemblée générale de l’Organisation Africaine des Institutions Supérieures de Contrôle (ISC) des Finances Publiques (AFROSAI). Cette rencontre qui aura lieu pendant deux jours, à compter de ce jeudi 17 au 18 mars 2022, portera sur le fonctionnement de l’organisation et l’examen des projets de statuts, le règlement intérieur du Comité Directeur, le règlement financier, et la structure organisationnelle de la Direction exécutive. Deux séances thématiques seront également abordées par les participants. L’une portera sur « L’audit du secteur des industries extractives en Afrique » et la seconde table ronde traitera de « L’intégration du concept Big data dans l’audit du Secteur public. »
« La première phase de notre Assemblée Générale nous avait permis d'approuver les rapports d'activité du Président sortant de l’AFROSAI, du Secrétaire général de l'AFROSAI, de la Commission de Renforcement des Capacités, de la Commission de Gestion et de partage des Connaissances, du Groupe de Travail de l'AFROSAI sue l'Audit environnemental et enfin, le rapport du Comité de la Revue africaine de Vérification intégrée de l'AFROSAI. Elle nous avait aussi permis de prendre acte des rapports d'activité des Sous-groupes linguistiques », a déclaré Mamadou Faye, Président AFROSAI.
Selon M. Faye, il reste pour cette deuxième phase de leur Assemblée Générale à examiner et approuver les projets de statuts et à aborder les deux thèmes techniques de nos assises que sont « l'Audit des industries extractives » et « la place du Big Data dans nos différentes pratiques professionnelles ».
S'agissant du secteur des industries extractives, le Premier Président de la Cour des comptes soutient que « son importance dans nos économies respectives appelle notre attention exigeante pour une complète reddition des comptes de la part des gestionnaires publics. Les données massives (Big Data), quant à elles, réalité de plus en plus marquée dans les administrations publiques, constituent, à la fois, un atout et un défi pour notre travail d'audit externe. Le partage d'expérience portant sur ces thèmes contribuera assurément à une mise à niveau de toutes nos ISC ».
Mamadou Faye a également évoqué « la lourde et dangereuse situation » née de la pandémie du coronavirus. Selon lui, cela rappelle que nous devons être prêts à remettre en question, à tout moment, nos plus fortes certitudes.
« En choisissant le thème du Travail des ISC face aux calamités publiques pour sa 24e Assemblée Générale, I’INTOSAI indique que nous devons, ici comme dans tous les domaines qui intéressent nos populations, continuer à donner la preuve de la valeur et de l'avantage des organes comme les nôtres. Les nouveaux organes de notre Organisation et leurs interactions permettront d'adopter et d'utiliser des outils efficaces et modernes pour accroître la performance de nos ISC, améliorer leur transparence, leur redevabilité et l'intégrité de leurs membres et surtout développer en leur sein des capacités de leadership et de gestion du changement stratégique. En ma qualité de Président en exercice, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour encore plus de visibilité de l'AFROSAI en tant qu'organisation inclusive des ISC africaines », dit-il.
Plus de 100 participants issus des 54 institutions supérieures de contrôles (ISC) des pays membres de l’AFROSAI ont participé aux travaux de l’AG.
« La première phase de notre Assemblée Générale nous avait permis d'approuver les rapports d'activité du Président sortant de l’AFROSAI, du Secrétaire général de l'AFROSAI, de la Commission de Renforcement des Capacités, de la Commission de Gestion et de partage des Connaissances, du Groupe de Travail de l'AFROSAI sue l'Audit environnemental et enfin, le rapport du Comité de la Revue africaine de Vérification intégrée de l'AFROSAI. Elle nous avait aussi permis de prendre acte des rapports d'activité des Sous-groupes linguistiques », a déclaré Mamadou Faye, Président AFROSAI.
Selon M. Faye, il reste pour cette deuxième phase de leur Assemblée Générale à examiner et approuver les projets de statuts et à aborder les deux thèmes techniques de nos assises que sont « l'Audit des industries extractives » et « la place du Big Data dans nos différentes pratiques professionnelles ».
S'agissant du secteur des industries extractives, le Premier Président de la Cour des comptes soutient que « son importance dans nos économies respectives appelle notre attention exigeante pour une complète reddition des comptes de la part des gestionnaires publics. Les données massives (Big Data), quant à elles, réalité de plus en plus marquée dans les administrations publiques, constituent, à la fois, un atout et un défi pour notre travail d'audit externe. Le partage d'expérience portant sur ces thèmes contribuera assurément à une mise à niveau de toutes nos ISC ».
Mamadou Faye a également évoqué « la lourde et dangereuse situation » née de la pandémie du coronavirus. Selon lui, cela rappelle que nous devons être prêts à remettre en question, à tout moment, nos plus fortes certitudes.
« En choisissant le thème du Travail des ISC face aux calamités publiques pour sa 24e Assemblée Générale, I’INTOSAI indique que nous devons, ici comme dans tous les domaines qui intéressent nos populations, continuer à donner la preuve de la valeur et de l'avantage des organes comme les nôtres. Les nouveaux organes de notre Organisation et leurs interactions permettront d'adopter et d'utiliser des outils efficaces et modernes pour accroître la performance de nos ISC, améliorer leur transparence, leur redevabilité et l'intégrité de leurs membres et surtout développer en leur sein des capacités de leadership et de gestion du changement stratégique. En ma qualité de Président en exercice, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour encore plus de visibilité de l'AFROSAI en tant qu'organisation inclusive des ISC africaines », dit-il.
Plus de 100 participants issus des 54 institutions supérieures de contrôles (ISC) des pays membres de l’AFROSAI ont participé aux travaux de l’AG.