L’affaire des « Panama papers » fait des ravages au Sénégal. Depuis que le nom de Mamadou Pouye, condamné pour complicité dans l’affaire Karim Wade est apparu dans les fichiers qui ont fuité d’un sulfureux cabinet panaméen spécialisé dans le montage de sociétés et comptes offshore. Comparée au scandale « Swissleaks » ou «câbles suisses », l’affaire « Panama papers » est une goutte d’eau dans la mer. Concernant le Sénégal, la seule donnée financière qui est l’objet à controverse est que Mamadou Pouye aurait de l’argent dans des comptes offshore.
Ce que nie son avocat, qui a annoncé une plainte contre les auteurs de l’enquête. Ce, même si, le Sénégal, par la voix de l’agent judiciaire de l’Etat, s’est engagé à user des voies et moyens pour recouvrir les « fonds » qui n’existeraient pas, selon le conseil de Pouye.
La même réaction n’a pas été enregistrée du côté des autorités étatiques dans le cadre des « Swissleaks » qui ont révélé, en février 2015, un système international de fraude fiscale et de blanchiment d’argent qui a été mis en place par HSBC à partir de sa filiale suisse, relate «Libération ».
Ce que nie son avocat, qui a annoncé une plainte contre les auteurs de l’enquête. Ce, même si, le Sénégal, par la voix de l’agent judiciaire de l’Etat, s’est engagé à user des voies et moyens pour recouvrir les « fonds » qui n’existeraient pas, selon le conseil de Pouye.
La même réaction n’a pas été enregistrée du côté des autorités étatiques dans le cadre des « Swissleaks » qui ont révélé, en février 2015, un système international de fraude fiscale et de blanchiment d’argent qui a été mis en place par HSBC à partir de sa filiale suisse, relate «Libération ».