Dans une salle archicomble, la cérémonie s’est ouverte par un récital du Coran, effectué par Serigne Makhtar Sylla. Après un long speech en arabe, le président e la Commission d’organisation, Serigne Bass Abdou Khadre, par ailleurs porte-parole du khalife a tenu à remercier les délégations nationales et internationales. Il a transmis les remerciements du khalife, Serigne Sidi Makhtar Mbacké à l’endroit de Me Abdoulaye Wade, pour les gros moyens déployés par ce dernier, dans cette cérémonie.
A cet effet, malgré sa journée chargée, avec le congrès d’investiture de son parti, sa présence dans ce colloque a valu à Me Abdoulaye Wade un témoignage de Serigne Bassirou Mbacké, sur sa croyance envers Serigne Touba. Ce qui permettra au chef de l’Etat de revendiquer avec aisance, son appartenance à la confrérie mouride, en rappelant que les trois fondements du mouridisme sont axés sur « la science, la prière et le travail ».
Néanmoins, le président de la commission Culture et Communication, Serigne Cheikh Abdou Mbacké Gaindé Fatma s’est chargé d’expliciter la notion du Soufisme, ainsi que son utilité pour se délivrer de la crise générale actuelle. Même avec « l’absence de qualificatif de la notion », cette doctrine constitue selon Serigne Cheikh Abdou Mbacké un recours pour sauver l’humanité, actuellement « traversée par une ligne de tension entre Etats et individus ». Conscientisant que « cette situation nous interpelle tous », le sens de ce colloque explique-t-il « est de partager les valeurs comme l’unité, la discipline, le savoir, la non-violence… », dans un monde saccadé aujourd’hui par les conflits et la violence.
La réponse du Soufisme face à la crise comme thème principal de ce premier colloque a son sens car Cheikh Ahmadou Bamba a incarné cette doctrine au cours de sa vie. C’est ce qui lui a permis, conclut Serigne Abdou Mbacké, « de vivre avec tous dans le pardon, et cela même avec ses ennemis ». D’importants travaux seront effectués à travers ce colloque international qui prendra fin le 26 décembre dans la ville sainte de Touba.
A cet effet, malgré sa journée chargée, avec le congrès d’investiture de son parti, sa présence dans ce colloque a valu à Me Abdoulaye Wade un témoignage de Serigne Bassirou Mbacké, sur sa croyance envers Serigne Touba. Ce qui permettra au chef de l’Etat de revendiquer avec aisance, son appartenance à la confrérie mouride, en rappelant que les trois fondements du mouridisme sont axés sur « la science, la prière et le travail ».
Néanmoins, le président de la commission Culture et Communication, Serigne Cheikh Abdou Mbacké Gaindé Fatma s’est chargé d’expliciter la notion du Soufisme, ainsi que son utilité pour se délivrer de la crise générale actuelle. Même avec « l’absence de qualificatif de la notion », cette doctrine constitue selon Serigne Cheikh Abdou Mbacké un recours pour sauver l’humanité, actuellement « traversée par une ligne de tension entre Etats et individus ». Conscientisant que « cette situation nous interpelle tous », le sens de ce colloque explique-t-il « est de partager les valeurs comme l’unité, la discipline, le savoir, la non-violence… », dans un monde saccadé aujourd’hui par les conflits et la violence.
La réponse du Soufisme face à la crise comme thème principal de ce premier colloque a son sens car Cheikh Ahmadou Bamba a incarné cette doctrine au cours de sa vie. C’est ce qui lui a permis, conclut Serigne Abdou Mbacké, « de vivre avec tous dans le pardon, et cela même avec ses ennemis ». D’importants travaux seront effectués à travers ce colloque international qui prendra fin le 26 décembre dans la ville sainte de Touba.