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Plus tôt dans l'après-midi, des hélicoptères français ont effectué des tirs vers cette résidence, quelques heures après une campagne de frappes menée avec l'ONU sur les bastions du président ivoirien sortant, a rapporté à l'AFP un témoin. Selon Charles Blé Goudé, leader des jeunes patriotes, milices de Laurent Gbagbo, la résidence a été "partiellement détruite" par les derniers bombardements.
Ces opérations durent depuis ce dimanche. A leur suite, le camp Gbagbo, dont les forces avaient réussi ces derniers jours à regagner du terrain à Abidjan, a aussitôt accusé la France, de n'avoir pas d'autre objectif que d'"assassiner" le président sortant.
L'ONU a expliqué de son côté que les tirs visaient à "neutraliser les armes lourdes" du camp Gbagbo pour protéger les civils, alors que les combattants d'Alassane Ouattara, président reconnu par la communauté internationale, n'ont pas réussi depuis une dizaine de jours à réduire ces bastions du camp adverse.
Ces opérations durent depuis ce dimanche. A leur suite, le camp Gbagbo, dont les forces avaient réussi ces derniers jours à regagner du terrain à Abidjan, a aussitôt accusé la France, de n'avoir pas d'autre objectif que d'"assassiner" le président sortant.
L'ONU a expliqué de son côté que les tirs visaient à "neutraliser les armes lourdes" du camp Gbagbo pour protéger les civils, alors que les combattants d'Alassane Ouattara, président reconnu par la communauté internationale, n'ont pas réussi depuis une dizaine de jours à réduire ces bastions du camp adverse.