This browser does not support the video element.
Le chef de file de l’écurie «Ndakaru» a confirmé toutes les analyses des spécialistes de la lutte. «Il n’a plus rien à prouver dans l’arène». Il a vaincu tous ses adversaires dans une sérénité olympienne.
Yekini a accroché à son tableau une 17e victoire en ce jour anniversaire du cinquantenaire de la fête de l’indépendance du Sénégal qui est plein de symboles. Comme, il l’avait fait le jour de l’an 2006 dans le même stade (Léopold Sédar Senghor), Yakhia Diop a encore fait mordre la poussière à Mohamed Ndao.
Cette victoire, c’est bien entendu, après avoir terrassé tous les lutteurs qui se sont dressés sur son chemin depuis son irruption dans l’arène en 1997. 18 combats, 17 victoires et 1 combat nul en treize années de présence dans l’arène, il serait difficile de faire mieux que l’enfant de Bassoul, de Joal et Fadiouth.
Il s’y ajoute son palmarès au plan international en lutte olympique et sans frappe. «Yékini» est, aujourd’hui sans conteste, un orfèvre de toutes les formes de la lutte. Il doit sa perspicacité et son adresse dans le métier de la lutte par son bon encadrement. En effet, il côtoie un champion de boxe, Souleymane Mbaye et compte dans son staff Amadou Katy Diop, Mbaye Cissé et autre Youssou Diène qui sont tous d’anciens lutteurs aguerris.
Le chef de file de l’écurie «Boul falé» n’a pas su relever le défi de son retour. Ce combat organisé par Gaston production ce 4 avril marquant le cinquantième anniversaire de notre accession à la souveraineté internationale n’a pas permis la «renaissance» de Mohamed Ndao dans l’arène.
Ce retour comportait pour l’enfant de Ndagane et de Pikine, trois grands défis à relever. Tyson avait à prouver à ses nombreux inconditionnels qu’il est encore resté le même lutteur qui a bouleversé l’arène au beau milieu des années 90. Cette même période où il s’était également frayé le chemin qui devait le mener au sommet de l’arène en « balayant » des lutteurs de la trempe de Manga 2, Toubabou Dior, Aliou Sèye, Mohamed Aly mais aussi Cheikkh Mbaba et Moustapha Guèye.
Mohamed Ndao n’a pu démontrer que cette longue absence pourrait être un atout pour mettre fin à l’invincibilité de la tête de file de l’écurie Ndakarou qui trône depuis quelques années au plus haut sommet de la lutte.
Yekini a accroché à son tableau une 17e victoire en ce jour anniversaire du cinquantenaire de la fête de l’indépendance du Sénégal qui est plein de symboles. Comme, il l’avait fait le jour de l’an 2006 dans le même stade (Léopold Sédar Senghor), Yakhia Diop a encore fait mordre la poussière à Mohamed Ndao.
Cette victoire, c’est bien entendu, après avoir terrassé tous les lutteurs qui se sont dressés sur son chemin depuis son irruption dans l’arène en 1997. 18 combats, 17 victoires et 1 combat nul en treize années de présence dans l’arène, il serait difficile de faire mieux que l’enfant de Bassoul, de Joal et Fadiouth.
Il s’y ajoute son palmarès au plan international en lutte olympique et sans frappe. «Yékini» est, aujourd’hui sans conteste, un orfèvre de toutes les formes de la lutte. Il doit sa perspicacité et son adresse dans le métier de la lutte par son bon encadrement. En effet, il côtoie un champion de boxe, Souleymane Mbaye et compte dans son staff Amadou Katy Diop, Mbaye Cissé et autre Youssou Diène qui sont tous d’anciens lutteurs aguerris.
Le chef de file de l’écurie «Boul falé» n’a pas su relever le défi de son retour. Ce combat organisé par Gaston production ce 4 avril marquant le cinquantième anniversaire de notre accession à la souveraineté internationale n’a pas permis la «renaissance» de Mohamed Ndao dans l’arène.
Ce retour comportait pour l’enfant de Ndagane et de Pikine, trois grands défis à relever. Tyson avait à prouver à ses nombreux inconditionnels qu’il est encore resté le même lutteur qui a bouleversé l’arène au beau milieu des années 90. Cette même période où il s’était également frayé le chemin qui devait le mener au sommet de l’arène en « balayant » des lutteurs de la trempe de Manga 2, Toubabou Dior, Aliou Sèye, Mohamed Aly mais aussi Cheikkh Mbaba et Moustapha Guèye.
Mohamed Ndao n’a pu démontrer que cette longue absence pourrait être un atout pour mettre fin à l’invincibilité de la tête de file de l’écurie Ndakarou qui trône depuis quelques années au plus haut sommet de la lutte.
This browser does not support the video element.