Le 19 août 1997, 25 soldats sénégalais furent abattus dans un embuscade des éléments d'Attika, la branche armée du Mouvement des forces démocratiques de la Casamance, au village de Mandina Mancagne, situé à quelques encablures de la ville de Ziguinchor. Une unité spéciale qui avait pour mission de déloger les éléments du Mfdc a vu son attaque surprise virer à son plus grand revers en Casamance, depuis le début du conflit en 1981.
Après cette tragédie, l'attaque de la forêt de Toubacouta de ce samedi 06 janvier reste la plus meurtrière de toutes celles perpétrées dans le sud, par des bandes armées ou des combattants séparatistes du Mfdc. Une tragédie qui vient à un moment où une accalmie a été constatée dans cette région du Sénégal depuis quelques années. Pas plus tard que ce matin, le site de l'Agence de presse sénégalaise (Aps) annonçait la libération par l'armée sénégalaise de deux combattants du Mfdc appartenant au camp de Salif Sadio, pour renforcer le processus de paix, suite à une médiation de la communauté Saint Egidio de Rome.
Tout ce qui reste à espérer est que cette attaque ne soit que l'oeuvre d'individus étrangers au Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc). Le contraire plongerait encore la Casamance dans une spirale de violence
Après cette tragédie, l'attaque de la forêt de Toubacouta de ce samedi 06 janvier reste la plus meurtrière de toutes celles perpétrées dans le sud, par des bandes armées ou des combattants séparatistes du Mfdc. Une tragédie qui vient à un moment où une accalmie a été constatée dans cette région du Sénégal depuis quelques années. Pas plus tard que ce matin, le site de l'Agence de presse sénégalaise (Aps) annonçait la libération par l'armée sénégalaise de deux combattants du Mfdc appartenant au camp de Salif Sadio, pour renforcer le processus de paix, suite à une médiation de la communauté Saint Egidio de Rome.
Tout ce qui reste à espérer est que cette attaque ne soit que l'oeuvre d'individus étrangers au Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc). Le contraire plongerait encore la Casamance dans une spirale de violence