Comme tous les autres acteurs du marché du pétrole, Total n'échappe pas à la règle : l'année 2020 a été rude. Le géant français a livré ses chiffres de l'année écoulée : il a annoncé une perte nette de 7,2 milliards de dollars en 2020. Une année dans le rouge, alors qu'en 2019, le bénéfice de Total s'élevait à 11,2 milliards de dollars.
Le groupe a vu son bénéfice net ajusté chuter de 66%, pour arriver à 4,06 milliards de dollars. Sans surprise, la crise du coronavirus n'y est pas étrangère. Mais elle n'est pas la seule à expliquer ces chiffres : la dépréciation du prix du baril a aussi eu un impact important. « L'année 2020 a connu deux crises majeures: celle de la pandémie de la Covid 19 qui a fortement affecté la demande mondiale, et celle du pétrole qui a conduit les prix du Brent à un niveau inférieur à 20 dollars par baril au cours du deuxième trimestre », explique dans un communiqué le PDG Patrick Pouyanné.
Total va devenir TotalEnergies en mai 2021
En 2020, Total a vu sa production d'hydrocarbures reculer de 5%. Le groupe, qui veut prendre le nom de TotalEnergies pour mieux refléter la transition énergétique, voit ses résultats nets souffrir aussi : en juillet 2020, il avait annoncé des dépréciations d'actifs de 8,1 milliards de dollars, qui s'expliquaient par la faiblesse des cours et les nouveaux objectifs climatiques.
A ce sujet, Patrick Pouyanné a confirmé que ces nouveaux objectifs étaient toujours à l'ordre du jour : « le groupe affirme sa volonté de se transformer en une compagnie multi-énergies pour répondre au double défi de la transition énergétique: plus d'énergie, moins d'émissions». Ainsi, le nouveau nom de TotalEnergies sera proposé à l'assemblée générale des actionnaires, prévue en mai.
Le groupe a vu son bénéfice net ajusté chuter de 66%, pour arriver à 4,06 milliards de dollars. Sans surprise, la crise du coronavirus n'y est pas étrangère. Mais elle n'est pas la seule à expliquer ces chiffres : la dépréciation du prix du baril a aussi eu un impact important. « L'année 2020 a connu deux crises majeures: celle de la pandémie de la Covid 19 qui a fortement affecté la demande mondiale, et celle du pétrole qui a conduit les prix du Brent à un niveau inférieur à 20 dollars par baril au cours du deuxième trimestre », explique dans un communiqué le PDG Patrick Pouyanné.
Total va devenir TotalEnergies en mai 2021
En 2020, Total a vu sa production d'hydrocarbures reculer de 5%. Le groupe, qui veut prendre le nom de TotalEnergies pour mieux refléter la transition énergétique, voit ses résultats nets souffrir aussi : en juillet 2020, il avait annoncé des dépréciations d'actifs de 8,1 milliards de dollars, qui s'expliquaient par la faiblesse des cours et les nouveaux objectifs climatiques.
A ce sujet, Patrick Pouyanné a confirmé que ces nouveaux objectifs étaient toujours à l'ordre du jour : « le groupe affirme sa volonté de se transformer en une compagnie multi-énergies pour répondre au double défi de la transition énergétique: plus d'énergie, moins d'émissions». Ainsi, le nouveau nom de TotalEnergies sera proposé à l'assemblée générale des actionnaires, prévue en mai.
😊 @Total va changer de nom pour devenir #TotalEnergies. Ce nom ancrera notre stratégie de #transformation en un groupe multi-énergies. TotalEnergies, c’est Total, c’est toutes les énergies, c’est toutes nos énergies au service de nos clients !
👉 https://t.co/Np4z01fZqa pic.twitter.com/byiTKgIFBp
— Patrick Pouyanné (@PPouyanne) February 9, 2021