Il y a d’abord tous ces Palestiniens tués par l’armée israélienne, explique le rapport. À Gaza, B'Tselem recensent 236 morts, la quasi-totalité d’entre eux tués par les bombardements israéliens pendant la guerre de mai dernier, sur des endroits densément peuplés, là où vivent des populations civiles.
En Cisjordanie occupée, 77 personnes ont été tuées par les soldats israéliens, le résultat de la politique de l’armée israélienne autorisant à tirer à balles réelles sur des Palestiniens.
« Les hauts-responsables israéliens, les ministres, les officiers de l’armée, les conseillers légaux, tous justifient cette politique d’ouverture du feu, nous explique Dror Sadot, la porte-parole de B'Tselem. Et ils insistent en parlant que ces « cas exceptionnels » font l’objet d’une enquête, mais dans les faits, ces tirs font partis d’une routine, et quasiment personne n’a à rendre de compte de ces actions. »
La violence des colons
Il y a aussi ces six Palestiniens tués par des colons armés, des soldats les accompagnants, ou des civils israéliens. Une violence des colons qui fait partie d’une violence de l’État, poursuit Dror Sadot : « C’est un outil moins officiel qu’Israël utilise pour prendre de plus en plus de terres palestiniennes, avec le but de créer un État uniquement juif entre la rivière du Jourdain et la Mer Méditerranée. »
Israël a aussi battu un record en termes de démolitions : 895 Palestiniens, plus la moitié étant des enfants, ont perdu leurs maisons en 2021.
En Cisjordanie occupée, 77 personnes ont été tuées par les soldats israéliens, le résultat de la politique de l’armée israélienne autorisant à tirer à balles réelles sur des Palestiniens.
« Les hauts-responsables israéliens, les ministres, les officiers de l’armée, les conseillers légaux, tous justifient cette politique d’ouverture du feu, nous explique Dror Sadot, la porte-parole de B'Tselem. Et ils insistent en parlant que ces « cas exceptionnels » font l’objet d’une enquête, mais dans les faits, ces tirs font partis d’une routine, et quasiment personne n’a à rendre de compte de ces actions. »
La violence des colons
Il y a aussi ces six Palestiniens tués par des colons armés, des soldats les accompagnants, ou des civils israéliens. Une violence des colons qui fait partie d’une violence de l’État, poursuit Dror Sadot : « C’est un outil moins officiel qu’Israël utilise pour prendre de plus en plus de terres palestiniennes, avec le but de créer un État uniquement juif entre la rivière du Jourdain et la Mer Méditerranée. »
Israël a aussi battu un record en termes de démolitions : 895 Palestiniens, plus la moitié étant des enfants, ont perdu leurs maisons en 2021.