À l’occasion du 31e anniversaire de la création de l’Union Économique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA), le président de la Commission de l’Union, Abdoulaye Diop, a adressé un message aux citoyens des États membres.
Le président Diop a souligné les objectifs de l’UEMOA, notamment « renforcer la compétitivité des économies des États membres » et « créer un marché commun basé sur la libre circulation des personnes, des biens, des services, des capitaux et le droit d’établissement ».
Depuis sa création, l’Union a enregistré des progrès notables. « Trente-et-un ans après sa création, des réalisations concrètes parlent d’elles-mêmes », a-t-il affirmé, citant des avancées en matière de convergence macroéconomique, d’harmonisation des législations et de politiques sectorielles dans les domaines économiques et sociaux.
Cependant, Abdoulaye Diop a également reconnu les défis persistants. « Le chemin à parcourir est long et les défis à relever nombreux, dans un environnement mondial perturbé par des crises profondes et multiformes », a-t-il déclaré. Parmi ces défis, la crise sécuritaire reste une « préoccupation majeure pour tous nos gouvernements ».
Malgré ces obstacles, le président de la Commission de l’UEMOA s’est dit confiant dans l’avenir de l’Union. Il a salué « l’attachement profond » des citoyens à l’idéal d’intégration et les efforts des différents acteurs pour maintenir la solidarité et la complémentarité au sein de l’Union.
« En ayant foi que notre engagement commun, dans l’unité et la solidarité, incarné au plus haut niveau par nos chefs d’État, nous conduira vers l’UEMOA des peuples, telle que voulue par les pères fondateurs il y a 31 ans », a-t-il soutenu.
Dans le communiqué parvenu à PressAfrik, le président de la Commission a rappelé la genèse de l’UEMOA, créée le 10 janvier 1994 à Dakar, dans un contexte marqué par la dévaluation du franc CFA. Les chefs d’État de sept pays d’Afrique de l’Ouest Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Mali, Niger, Sénégal et Togo avaient alors pris la décision « historique de renforcer l’Union monétaire, née 32 ans plus tôt, par une intégration plus économique ». La Guinée-Bissau a rejoint cette initiative en mai 1997.
Le président Diop a souligné les objectifs de l’UEMOA, notamment « renforcer la compétitivité des économies des États membres » et « créer un marché commun basé sur la libre circulation des personnes, des biens, des services, des capitaux et le droit d’établissement ».
Depuis sa création, l’Union a enregistré des progrès notables. « Trente-et-un ans après sa création, des réalisations concrètes parlent d’elles-mêmes », a-t-il affirmé, citant des avancées en matière de convergence macroéconomique, d’harmonisation des législations et de politiques sectorielles dans les domaines économiques et sociaux.
Cependant, Abdoulaye Diop a également reconnu les défis persistants. « Le chemin à parcourir est long et les défis à relever nombreux, dans un environnement mondial perturbé par des crises profondes et multiformes », a-t-il déclaré. Parmi ces défis, la crise sécuritaire reste une « préoccupation majeure pour tous nos gouvernements ».
Malgré ces obstacles, le président de la Commission de l’UEMOA s’est dit confiant dans l’avenir de l’Union. Il a salué « l’attachement profond » des citoyens à l’idéal d’intégration et les efforts des différents acteurs pour maintenir la solidarité et la complémentarité au sein de l’Union.
« En ayant foi que notre engagement commun, dans l’unité et la solidarité, incarné au plus haut niveau par nos chefs d’État, nous conduira vers l’UEMOA des peuples, telle que voulue par les pères fondateurs il y a 31 ans », a-t-il soutenu.
Dans le communiqué parvenu à PressAfrik, le président de la Commission a rappelé la genèse de l’UEMOA, créée le 10 janvier 1994 à Dakar, dans un contexte marqué par la dévaluation du franc CFA. Les chefs d’État de sept pays d’Afrique de l’Ouest Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Mali, Niger, Sénégal et Togo avaient alors pris la décision « historique de renforcer l’Union monétaire, née 32 ans plus tôt, par une intégration plus économique ». La Guinée-Bissau a rejoint cette initiative en mai 1997.
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