Le secrétaire général de la Francophonie s’est réjoui d’une telle rencontre qui permettra non seulement de réfléchir sur le devenir de la langue mais aussi sur plusieurs autres points qui sont inscrits à l’ordre du jour de l’agenda des parlementaires francophones. Pour lui cette rencontre servira de finir avec les clichés anachroniques faits sur l’Afrique. Car on doit plutôt regarder son talent et sa dynamique prometteuse au niveau de la démocratisation, de la Sécurisation à travers toutes les missions auxquelles elle participe. «L' Afrique doit faire valoir ses intérêts et jouer pleinement son rôle sur le plan mondial », a recommandé le Secrétaire général de la Francophonie pour qui : «qu’on le veuille ou pas, rien n’empêchera l’Afrique de se mondialiser.
De son côté, le Président de l’APF, par ailleurs Président de l’Assemblée nationale du Québec, M. Yvon Vallière a soutenu qu'il était plus que significative pour le Parlement francophone. «Significatif tout d’abord parce qu’il y a de cela 50 ans, les Sénégalais, à l’instar de maints peuples africains, prenaient en main leur destinée. Loin du repli sur soi, cette étape historique sera le point de départ de l’émancipation de tout un continent qui servira progressivement les idéaux de la paix, de la démocratie et du développement », a déclaré M. Vallière en se convaincant que «Ces ambitions, mues par la langue française, contribueront, significativement, à l’émergence de la Francophonie sous sa forme actuelle, une organisation planétaire à vocation linguistique, politique et culturelle».
Pour lui, cet héritage, ainsi que celui des autres Pères fondateurs que furent le tunisien, Habib Bourguiba, le nigérien, Hamani Diori ou encore le Prince Norodom Sihanouk du Cambodge, est aujourd’hui, plus que vivant alors que nous célébrons en cette année les 40 ans de la signature de la Convention portant sur la création de l’Agence de coopération culturelle et technique, acte constitutif de l’actuelle Organisation internationale de la Francophonie.
«Cet anniversaire est spécialement parlant pour nous, parlementaires francophones, alors que, comme vous le savez, l’Association internationale des parlementaires de langue française, qui deviendra l’Assemblée parlementaire de la Francophonie, avait, dès 1968, par l’adoption d’une résolution, préconisé la création d’une institution de coopération intergouvernementale francophone», a rappelé M. Vallière pour qui, « Il n’est pas inutile de rappeler que les parlementaires francophones ont joué un rôle de précurseur en formant la première organisation collective politique francophone avant même que les exécutifs s’emparent de cette question».
En effet, raconte-t-il, «Nous voilà, 40 ans plus tard, devant une Organisation internationale de la Francophonie qui a atteint un rythme de croisière plus qu’enviable. De la défense de la langue française à la diversité culturelle en passant par l’éducation, le développement durable, les nouvelles technologies, la solidarité ou encore son action politique, cette organisation a su devenir un acteur incontournable sur la scène internationale».
A noter que l’Assemblée parlementaire de la Francophonie regroupe des parlementaires de 77 Parlements ou organisations interparlementaires répartis sur cinq continents. Son action vise principalement à promouvoir et défendre la démocratie, l’Etat de droit, le respect des droits de l’Homme, le rayonnement international de la langue française et la diversité culturelle.
De son côté, le Président de l’APF, par ailleurs Président de l’Assemblée nationale du Québec, M. Yvon Vallière a soutenu qu'il était plus que significative pour le Parlement francophone. «Significatif tout d’abord parce qu’il y a de cela 50 ans, les Sénégalais, à l’instar de maints peuples africains, prenaient en main leur destinée. Loin du repli sur soi, cette étape historique sera le point de départ de l’émancipation de tout un continent qui servira progressivement les idéaux de la paix, de la démocratie et du développement », a déclaré M. Vallière en se convaincant que «Ces ambitions, mues par la langue française, contribueront, significativement, à l’émergence de la Francophonie sous sa forme actuelle, une organisation planétaire à vocation linguistique, politique et culturelle».
Pour lui, cet héritage, ainsi que celui des autres Pères fondateurs que furent le tunisien, Habib Bourguiba, le nigérien, Hamani Diori ou encore le Prince Norodom Sihanouk du Cambodge, est aujourd’hui, plus que vivant alors que nous célébrons en cette année les 40 ans de la signature de la Convention portant sur la création de l’Agence de coopération culturelle et technique, acte constitutif de l’actuelle Organisation internationale de la Francophonie.
«Cet anniversaire est spécialement parlant pour nous, parlementaires francophones, alors que, comme vous le savez, l’Association internationale des parlementaires de langue française, qui deviendra l’Assemblée parlementaire de la Francophonie, avait, dès 1968, par l’adoption d’une résolution, préconisé la création d’une institution de coopération intergouvernementale francophone», a rappelé M. Vallière pour qui, « Il n’est pas inutile de rappeler que les parlementaires francophones ont joué un rôle de précurseur en formant la première organisation collective politique francophone avant même que les exécutifs s’emparent de cette question».
En effet, raconte-t-il, «Nous voilà, 40 ans plus tard, devant une Organisation internationale de la Francophonie qui a atteint un rythme de croisière plus qu’enviable. De la défense de la langue française à la diversité culturelle en passant par l’éducation, le développement durable, les nouvelles technologies, la solidarité ou encore son action politique, cette organisation a su devenir un acteur incontournable sur la scène internationale».
A noter que l’Assemblée parlementaire de la Francophonie regroupe des parlementaires de 77 Parlements ou organisations interparlementaires répartis sur cinq continents. Son action vise principalement à promouvoir et défendre la démocratie, l’Etat de droit, le respect des droits de l’Homme, le rayonnement international de la langue française et la diversité culturelle.
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