Le débat sur la question du 3e mandat est loin de connaître son épilogue. Invité à l’émission jury du dimanche (Jdd) sur I-radio, ce 02 avril, le porte-parole du gouvernement par ailleurs ministre du commerce, de la consommation et des PME invite tous ceux qui abordent la question d’arrêter « d’imposer ces genres de débats ». Car, selon Abdou Karim Fofana « On ne peut pas imposer à une personne ce que la constitution ne lui impose pas ».
D’emblée, M. Fofana a rappelé son engagement auprès de Macky Sall en 2012 : « Mon combat politique auprès de Macky Sall n’était pas la candidature. Mon engagement c’était d’élire Macky et d’avoir un changement en 2012 ».
Interrogé sur la question du 3e mandat, il est d’avis qu’ : « on ne peut pas imposer à une personne ce que la constitution ne lui impose pas ». Avant de souligner que la même question a été soulevée en 2012. « En 2012, beaucoup de personnes avaient ébruité ça mais le conseil constitutionnel avait tranché. Arrêtons d’imposer ces genres de débat. C’est le peuple sénégalais qui est souverain. En 2012, si tous les démocrates du Sénégal avaient fait campagne contre le 3e mandat et que le peuple venait à élire le président Wade (…). Mais c’est le peuple qui est souverain ».
A l’en croire, il y’a plus de « 3 millions d’inscrits sur les listes électorales ». Donc, a-t-il avancé, « Il faut arrêter de réfléchir pour les autres. Nous avons une constitution. Et le conseil constitutionnel a dit que le mandat du président Macky Sall entre 2012 et 2019 est hors de portée de l’application de la révision de la constitution de 2016 ».
«En 2016, a-t-il ajouter, le Sénégal était paisible et ne connaissait pas de poussées anarchistes et antirépublicaines. Si nous sommes conscients des enjeux de ce qui se dit dans les réseaux sociaux, de la nouvelle posture des acteurs politiques surtout de l’opposition, je pense qu’on a intérêt à se regrouper derrière un front républicain qui nous préserverait de tout ce qui se passe dans la sous-région. La question du 3e mandat est une question mineure par rapport à ces enjeux », a-t-il dit.
Avant d’enchaîner : « Le président Macky Sall a la liberté de candidater ou de ne pas candidater. Le conseil constitutionnel valide ou invalide. Mais entre ces deux pour moi est-ce que ce sont les autres qui doivent choisir pour le président Sall ? Mais laissons-lui la liberté ».
D’emblée, M. Fofana a rappelé son engagement auprès de Macky Sall en 2012 : « Mon combat politique auprès de Macky Sall n’était pas la candidature. Mon engagement c’était d’élire Macky et d’avoir un changement en 2012 ».
Interrogé sur la question du 3e mandat, il est d’avis qu’ : « on ne peut pas imposer à une personne ce que la constitution ne lui impose pas ». Avant de souligner que la même question a été soulevée en 2012. « En 2012, beaucoup de personnes avaient ébruité ça mais le conseil constitutionnel avait tranché. Arrêtons d’imposer ces genres de débat. C’est le peuple sénégalais qui est souverain. En 2012, si tous les démocrates du Sénégal avaient fait campagne contre le 3e mandat et que le peuple venait à élire le président Wade (…). Mais c’est le peuple qui est souverain ».
A l’en croire, il y’a plus de « 3 millions d’inscrits sur les listes électorales ». Donc, a-t-il avancé, « Il faut arrêter de réfléchir pour les autres. Nous avons une constitution. Et le conseil constitutionnel a dit que le mandat du président Macky Sall entre 2012 et 2019 est hors de portée de l’application de la révision de la constitution de 2016 ».
« On a intérêt à se regrouper derrière un front républicain qui nous préserverait de tout ce qui se passe dans la sous-région »Selon lui, beaucoup d’acteurs politiques qui parlent aujourd’hui étaient contre cette constitution. « Il faut également rappeler la question du président Macky Sall au conseil constitutionnel. Il avait dit est-ce que la réduction de 7 à 5 ans peut s’appliquer à mon mandat ? Et le Conseil constitutionnel avait dit que ce n’était pas possible. Maintenant la politique c’est des contextes ».
«En 2016, a-t-il ajouter, le Sénégal était paisible et ne connaissait pas de poussées anarchistes et antirépublicaines. Si nous sommes conscients des enjeux de ce qui se dit dans les réseaux sociaux, de la nouvelle posture des acteurs politiques surtout de l’opposition, je pense qu’on a intérêt à se regrouper derrière un front républicain qui nous préserverait de tout ce qui se passe dans la sous-région. La question du 3e mandat est une question mineure par rapport à ces enjeux », a-t-il dit.
Avant d’enchaîner : « Le président Macky Sall a la liberté de candidater ou de ne pas candidater. Le conseil constitutionnel valide ou invalide. Mais entre ces deux pour moi est-ce que ce sont les autres qui doivent choisir pour le président Sall ? Mais laissons-lui la liberté ».
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