La DER, c’est plus de 80 milliards de F CFA octroyés aux femmes et aux jeunes avec 552 communes touchées sur les 45 départements en 4 ans d’existence, si l’on en croit à son patron Pape Amadou Sarr.
« C’est plus de 200 mille personnes financées qui ont eu à toucher directement des crédits. Du plus petit crédit que nous avons qui est le nano crédit au financement structuré allant jusqu’à 300 millions de F CFA. Un autre bilan positif que nous avons c’est que la DER à gagner le pari de la territorialisation et de l’inclusion. Nous sommes présents dans les 14 régions, les 45 départements et les 552 communes du Sénégal à travers les financements que nous avons octroyé depuis 2018 », a déclaré le ministre Délégué Général.
20 % de la demande globale satisfaits et 80 % sont laissés pour compte à la DER
Poursuivant ses propos, Pape Amadou Sarr a évoqué des limites, les difficultés rencontrées par la DER. « Des insuffisances en termes de ressources financières adaptées aux besoins, aux demandes. Nous sommes à un peu plus de 500 mille demandes. Et plus de 300 milliards en demandes de crédits sur notre plateforme. Sans compter les nouvelles demandes qui arrivent chaque jour. Et nous faisons des frustrés. Nous avons satisfait 20 % de la demande globale. Les autres 80 % sont laissés pour compte, et ont besoin de financement. C’est un peu là, les difficultés, les craintes que nous avons », dit-il.
Mieux ajoute M. Sarr, « pour les quatre ans de la DER, un bilan de plus de 200 mille crédits octroyés pour plus de 80 milliards de F CFA avec 552 communes touchées sur les 45 départements. Et des programmes encore plus intéressants avec plus de 130 millions d’euros levés à travers la Banque Africaine de Développement (BAD), l’Agence Française de Développement (AFD), pour ne citer que ceux-là. Nous avons aussi fait le bilan de quelques programmes notamment le Fonds de soutien à l’innovation et au numérique qui a octroyé un peu plus de 3,8 milliards de crédit à plus de 230 start-ups et PME du numérique sur l’ensemble du territoire national ».
Le Patron de la DER/FJ a également précisé que « la DER ce n’est pas que le financement, c’est aussi et avant tout, la formation, le renforcement de capacités. C’est l‘objet de la rencontre de ce matin qui coïncide avec les 4 ans de la DER, nous célébrons la journée de la femme ».
L’économie sénégalaise est par essence informelle
Selon le ministre Délégué général, l’économie sénégalaise est par essence informelle. « L’économie sénégalaise est par essence informelle. Suite aux derniers recensements généraux des entreprises que nous avions faites en 2016, nous avions identifié un peu plus de 97 % des structures. Plus de 400 mille TPE, PME qui étaient dans le secteur informel inconnus du fisc », a-t-il fait s’avoir.
« C’est plus de 200 mille personnes financées qui ont eu à toucher directement des crédits. Du plus petit crédit que nous avons qui est le nano crédit au financement structuré allant jusqu’à 300 millions de F CFA. Un autre bilan positif que nous avons c’est que la DER à gagner le pari de la territorialisation et de l’inclusion. Nous sommes présents dans les 14 régions, les 45 départements et les 552 communes du Sénégal à travers les financements que nous avons octroyé depuis 2018 », a déclaré le ministre Délégué Général.
20 % de la demande globale satisfaits et 80 % sont laissés pour compte à la DER
Poursuivant ses propos, Pape Amadou Sarr a évoqué des limites, les difficultés rencontrées par la DER. « Des insuffisances en termes de ressources financières adaptées aux besoins, aux demandes. Nous sommes à un peu plus de 500 mille demandes. Et plus de 300 milliards en demandes de crédits sur notre plateforme. Sans compter les nouvelles demandes qui arrivent chaque jour. Et nous faisons des frustrés. Nous avons satisfait 20 % de la demande globale. Les autres 80 % sont laissés pour compte, et ont besoin de financement. C’est un peu là, les difficultés, les craintes que nous avons », dit-il.
Mieux ajoute M. Sarr, « pour les quatre ans de la DER, un bilan de plus de 200 mille crédits octroyés pour plus de 80 milliards de F CFA avec 552 communes touchées sur les 45 départements. Et des programmes encore plus intéressants avec plus de 130 millions d’euros levés à travers la Banque Africaine de Développement (BAD), l’Agence Française de Développement (AFD), pour ne citer que ceux-là. Nous avons aussi fait le bilan de quelques programmes notamment le Fonds de soutien à l’innovation et au numérique qui a octroyé un peu plus de 3,8 milliards de crédit à plus de 230 start-ups et PME du numérique sur l’ensemble du territoire national ».
Le Patron de la DER/FJ a également précisé que « la DER ce n’est pas que le financement, c’est aussi et avant tout, la formation, le renforcement de capacités. C’est l‘objet de la rencontre de ce matin qui coïncide avec les 4 ans de la DER, nous célébrons la journée de la femme ».
L’économie sénégalaise est par essence informelle
Selon le ministre Délégué général, l’économie sénégalaise est par essence informelle. « L’économie sénégalaise est par essence informelle. Suite aux derniers recensements généraux des entreprises que nous avions faites en 2016, nous avions identifié un peu plus de 97 % des structures. Plus de 400 mille TPE, PME qui étaient dans le secteur informel inconnus du fisc », a-t-il fait s’avoir.