Les étudiants ne veulent pas que la mort de leur camarade Mohamed Fallou Sène reste impunie. Ils ont décrété quatre jour de marche à partir du 22 mai sur l'ensemble du territoire national.
Selon le coordonnateur des étudiants de l'Université Gaston Berger de Saint-Louis, cette marche pacifique est organisée pour réclamer le paiement de leurs bourses avant le 5 de chaque mois, mais surtout pour "exiger des autorités que la lumière soit faite sur la mort de Fallou Sène". Les étudiants exigent également le limogeage du recteur de l'Université Gaston Berger Baydalla Kane, le directeur du Crous, Ibrahim Diallo, le ministre de l'Enseignement supérieur Mary Teuw Niane, le ministre des Finances Amadou Ba.
Les étudiants de l'Ugb ont également appelé leurs camarades qui sont rentrés chez eux après les événements dramatiques de mardi, de revenir au campus pour continuer le combat. Mapal Samb ne veut surtout pas que le mouvement faiblisse. "On a une société émotive mais qui est malheureusement oublieuse, décrypte l'étudiant de l'Ugb. Voilà pourquoi on s'est dit qu'on doit maintenir la tension pour faire pression sur l'État et la société parce que c'est devenu le combat de la société sénégalaise dans son ensemble", a-t-il dit sur la 2Stv.
Selon le coordonnateur des étudiants de l'Université Gaston Berger de Saint-Louis, cette marche pacifique est organisée pour réclamer le paiement de leurs bourses avant le 5 de chaque mois, mais surtout pour "exiger des autorités que la lumière soit faite sur la mort de Fallou Sène". Les étudiants exigent également le limogeage du recteur de l'Université Gaston Berger Baydalla Kane, le directeur du Crous, Ibrahim Diallo, le ministre de l'Enseignement supérieur Mary Teuw Niane, le ministre des Finances Amadou Ba.
Les étudiants de l'Ugb ont également appelé leurs camarades qui sont rentrés chez eux après les événements dramatiques de mardi, de revenir au campus pour continuer le combat. Mapal Samb ne veut surtout pas que le mouvement faiblisse. "On a une société émotive mais qui est malheureusement oublieuse, décrypte l'étudiant de l'Ugb. Voilà pourquoi on s'est dit qu'on doit maintenir la tension pour faire pression sur l'État et la société parce que c'est devenu le combat de la société sénégalaise dans son ensemble", a-t-il dit sur la 2Stv.
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