Enda Tiers monde célèbre un demi-siècle d’existence de son réseau. Une occasion pour les acteurs de travailler autour des questions liées à l’environnement et au développement. Ils ont organisé une table ronde avec les partenaires, ce mardi, pour jeter les bases d’une réflexion prospective sur son devenir. Selon le secrétaire exécutif Séckou Sarr, ‘’Enda est considéré comme un laboratoire pour produire des alternatives et voir par rapport à la documentation de ces évidences’’.
« C’est justement pour travailler autour des questions liées à l’environnement et au développement, pour aller vers la convivialité entre l’homme et la nature. C’est autour de ces deux problématiques qu’on cherchait à voir avec qui travailler sur les questions de sociétés plus justes plus inclusives, comment on pourrait aider les communautés, travailler avec eux, et mener des actions concrètes avec les communautés pour renforcer leur pouvoir économique, mais surtout pouvoir politique. C’est cela qu'Enda a été toujours connu dans la lutte pour la participation dans les instances de décision, mais également dans tout ce qui est un développement alternatif. Donc Enda est considéré comme un laboratoire pour produire des alternatives et voir par rapport à la documentation de ces évidences », a déclaré Seckou Sarr secrétaire exécutif liaison internationale Enda Tiers Monde.
Par ailleurs, il précise qu'Enda « était un précurseur sur les questions de développement durable qui constitue aujourd’hui les orientations stratégiques des Nations Unies pour parler de développement durable. Et c’est ça qui explique la diversité des organisations qui composent Enda. Il y a 19 organisations à travers le monde dont les 14 sont au Sénégal. Enda Tiers Monde est en pleine mutation caractérisée par une recrudescence des conflits, une amplification progressive des effets pervers des changements climatiques et des événements extrêmes sur la vie des populations et des écosystèmes. Plus globalement, on assiste à un effondrement des systèmes et une opportunité pour les pays du sud à se réinventer ».
Pour Bachir Kanouté, secrétaire exécutif Enda TM, « les principaux défis pour nous, c’est comment accompagner toutes les transitions qui se dessinent. Il y a la transition démographique. L’Afrique constitue un potentiel énorme avec sa démographie. Il y a la transition climatique qui se dessine avec tous ces changements qui se mettent en place pour lesquels l’Afrique ne contribue pas beaucoup à la production de gaz à effet de serre, mais subit énormément. Je rappelle que les 25 pays les plus marqués par les impacts du changement climatique, les 19 sont en Afrique ».
« C’est justement pour travailler autour des questions liées à l’environnement et au développement, pour aller vers la convivialité entre l’homme et la nature. C’est autour de ces deux problématiques qu’on cherchait à voir avec qui travailler sur les questions de sociétés plus justes plus inclusives, comment on pourrait aider les communautés, travailler avec eux, et mener des actions concrètes avec les communautés pour renforcer leur pouvoir économique, mais surtout pouvoir politique. C’est cela qu'Enda a été toujours connu dans la lutte pour la participation dans les instances de décision, mais également dans tout ce qui est un développement alternatif. Donc Enda est considéré comme un laboratoire pour produire des alternatives et voir par rapport à la documentation de ces évidences », a déclaré Seckou Sarr secrétaire exécutif liaison internationale Enda Tiers Monde.
Par ailleurs, il précise qu'Enda « était un précurseur sur les questions de développement durable qui constitue aujourd’hui les orientations stratégiques des Nations Unies pour parler de développement durable. Et c’est ça qui explique la diversité des organisations qui composent Enda. Il y a 19 organisations à travers le monde dont les 14 sont au Sénégal. Enda Tiers Monde est en pleine mutation caractérisée par une recrudescence des conflits, une amplification progressive des effets pervers des changements climatiques et des événements extrêmes sur la vie des populations et des écosystèmes. Plus globalement, on assiste à un effondrement des systèmes et une opportunité pour les pays du sud à se réinventer ».
Pour Bachir Kanouté, secrétaire exécutif Enda TM, « les principaux défis pour nous, c’est comment accompagner toutes les transitions qui se dessinent. Il y a la transition démographique. L’Afrique constitue un potentiel énorme avec sa démographie. Il y a la transition climatique qui se dessine avec tous ces changements qui se mettent en place pour lesquels l’Afrique ne contribue pas beaucoup à la production de gaz à effet de serre, mais subit énormément. Je rappelle que les 25 pays les plus marqués par les impacts du changement climatique, les 19 sont en Afrique ».