Dans le cadre de son cinquantième anniversaire, l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS) a organisé, ce lundi en partenariat technique avec le cabinet POLYCOM Consulting, un forum d'échanges économiques sur le thème : « Bassin du Fleuve Sénégal : « Modèle d'intégration, espace d'opportunités » pour marquer une pause pour jeter un regard rétrospectif sur ce parcours, de faire le bilan, mais aussi de se projeter sur l’avenir. La cérémonie a été présidée par Serigne Mbaye Thiam, Ministre de l’Eau et de l’Assainissement du Sénégal.
« Sous l’égide des chefs d’Etats et gouvernement de notre organisation et au nom de mes collègues de tutelle de l’OMVS, de la République de Guinée, Mali, et la République Islamique de Mauritanie, j’étais venu aujourd’hui présider le forum des échanges économiques sur le bassin du fleuve Sénégal. Ce forum est une des activités du cinquantenaire de l’OMVS. Il ne s’agit pas aujourd’hui de fêter les 50 ans de l’OMVS. Elles seront fêtées le 11 mars 2022, qui est la date d’anniversaire », a déclaré Serigne Mbaye Thiam.
Poursuivant ses propos le Président en exercice du Conseil des ministres de l’OMVS, cette aménagement à permis aujourd’hui de disposer de 200 mille hectares de terres irrigables. « Vous avez parlé des réalisations. On peut en citer dans le domaine de l’énergie, avec les barrages de Manantali, de Félo, et le barrage de Guouina qui est en voie d’achèvement. Nous pouvons parler de l’énergie électrique qui permet de satisfaire des besoins dans des pays comme le Mali, la Mauritanie, et le Sénégal, parler de l’aménagement des terres agricoles qui a permis aujourd’hui de disposer de 200 mille hectares de terres irrigables qui servent à la culture dans le bassin du fleuve pour nos trois, du projet de navigation qui au cours de ces deux dernières années a connu des avancées avec la signature du contrat commercial et des négociations très avancé en ce qui concerne le financement », dit-il.
Parlant des chutes de Guouina, le Ministre soutient qu’il n’y a pas seulement des acquis. « Il y a des réalisations tangibles. Il y a quelques mois de cela, j’ai été moi-même en tant que Président du Conseil des ministres visiter le chantier du barrage hydroélectrique de Gouina. Et actuellement, on est dans les dernières installations, dans les tests pour le démarrage de la production hydroélectrique. Ce barrage est aujourd’hui une réalité. Toute notre attention et nos efforts sont tournés vers le barrage de KoukouTamba dans le haut bassin et le barrage de Gourbassi qui nous permettra une meilleure régularisation du fleuve Sénégal », a déclaré Serigne Mbaye Thiam.
Le Haut Commissaire de l’OMVS soutient qu’il faut des améliorer la maitrise du fleuve qui passe par la réalisation des prochains barrages. « ll nous faut également améliorer la maitrise du fleuve qui passe par la réalisation des prochains barrages. Celui de Gourbassi à lui tout seul portera le niveau de régularisation du fleuve de 50 % actuellement à 75 %. Il en est de même d'une gestion proactive s'appuyant sur des outils de planification rigoureux, des instruments de mesure, de suivi et de sauvegarde de la ressource et de l'environnement du bassin. Nous déroulons d'ailleurs avec l'appui de nos partenaires divers programmes consacrés au suivi de la qualité des eaux grâce à la formation des personnels, la cartographie du bassin et l'acquisition d'équipements adaptés, la mise en place de l'Observatoire du Fouta Djalon (massif d'où prennent leur source presque tous les cours d'eau d'Afrique de l'Ouest), et des projets pilotes dédiés à l'amélioration de la résilience climatique », a indiqué Hamed Diane Séméga, Haut Commissaire de l’OMVS.
« Sous l’égide des chefs d’Etats et gouvernement de notre organisation et au nom de mes collègues de tutelle de l’OMVS, de la République de Guinée, Mali, et la République Islamique de Mauritanie, j’étais venu aujourd’hui présider le forum des échanges économiques sur le bassin du fleuve Sénégal. Ce forum est une des activités du cinquantenaire de l’OMVS. Il ne s’agit pas aujourd’hui de fêter les 50 ans de l’OMVS. Elles seront fêtées le 11 mars 2022, qui est la date d’anniversaire », a déclaré Serigne Mbaye Thiam.
Poursuivant ses propos le Président en exercice du Conseil des ministres de l’OMVS, cette aménagement à permis aujourd’hui de disposer de 200 mille hectares de terres irrigables. « Vous avez parlé des réalisations. On peut en citer dans le domaine de l’énergie, avec les barrages de Manantali, de Félo, et le barrage de Guouina qui est en voie d’achèvement. Nous pouvons parler de l’énergie électrique qui permet de satisfaire des besoins dans des pays comme le Mali, la Mauritanie, et le Sénégal, parler de l’aménagement des terres agricoles qui a permis aujourd’hui de disposer de 200 mille hectares de terres irrigables qui servent à la culture dans le bassin du fleuve pour nos trois, du projet de navigation qui au cours de ces deux dernières années a connu des avancées avec la signature du contrat commercial et des négociations très avancé en ce qui concerne le financement », dit-il.
Parlant des chutes de Guouina, le Ministre soutient qu’il n’y a pas seulement des acquis. « Il y a des réalisations tangibles. Il y a quelques mois de cela, j’ai été moi-même en tant que Président du Conseil des ministres visiter le chantier du barrage hydroélectrique de Gouina. Et actuellement, on est dans les dernières installations, dans les tests pour le démarrage de la production hydroélectrique. Ce barrage est aujourd’hui une réalité. Toute notre attention et nos efforts sont tournés vers le barrage de KoukouTamba dans le haut bassin et le barrage de Gourbassi qui nous permettra une meilleure régularisation du fleuve Sénégal », a déclaré Serigne Mbaye Thiam.
Le Haut Commissaire de l’OMVS soutient qu’il faut des améliorer la maitrise du fleuve qui passe par la réalisation des prochains barrages. « ll nous faut également améliorer la maitrise du fleuve qui passe par la réalisation des prochains barrages. Celui de Gourbassi à lui tout seul portera le niveau de régularisation du fleuve de 50 % actuellement à 75 %. Il en est de même d'une gestion proactive s'appuyant sur des outils de planification rigoureux, des instruments de mesure, de suivi et de sauvegarde de la ressource et de l'environnement du bassin. Nous déroulons d'ailleurs avec l'appui de nos partenaires divers programmes consacrés au suivi de la qualité des eaux grâce à la formation des personnels, la cartographie du bassin et l'acquisition d'équipements adaptés, la mise en place de l'Observatoire du Fouta Djalon (massif d'où prennent leur source presque tous les cours d'eau d'Afrique de l'Ouest), et des projets pilotes dédiés à l'amélioration de la résilience climatique », a indiqué Hamed Diane Séméga, Haut Commissaire de l’OMVS.