Accueilli en grande pompe, le candidat des Forces alliées 2012 en l'occurrence Me Wade s'est déplacé à Pikine et à Guédiawaye. Sa venue dans la banlieue avait été annoncée à grand risque. Des menaces avaient fusé de partout même dans le camp des libéraux.
Les responsables PDS de la banlieue ont ainsi mis les bouchées doubles dans la sécurité avec le recrutement de 500 gros bras. Ils ont été postés à l’entrée et à certains endroits des grandes artères de Pikine et de Guédiawaye. Encagoulés, ils étaient lourdement armés sans compter aussi une forte présence des forces de l’ordre et des corps d’élite de la gendarmerie et de la police (GIGN et BIP).
Le candidat des FAL a demandé la majorité écrasante pour ensuite faire de Pikine "une ville changeante". Sur la même lancée, il a traitera l'opposition "d’illusionnistes". "Ce sont des gens qui ont trompé leurs militants. Ils ont été trahi par leurs bêtises", a-t-il déclaré.
Par ailleurs ce dernier a demandé aux jeunes de s'ériger en bouclier pour sécuriser le vote le jour du scrutin. "Des gens de l'opposition ont payé des commandos pour tout faire chambouler. Ce qui n'arrivera pas", a prévenu le président sortant dont sa candidature est fortement contestée.
Abdoul K. Diop (Correspondant dans la banlieue)
Les responsables PDS de la banlieue ont ainsi mis les bouchées doubles dans la sécurité avec le recrutement de 500 gros bras. Ils ont été postés à l’entrée et à certains endroits des grandes artères de Pikine et de Guédiawaye. Encagoulés, ils étaient lourdement armés sans compter aussi une forte présence des forces de l’ordre et des corps d’élite de la gendarmerie et de la police (GIGN et BIP).
Le candidat des FAL a demandé la majorité écrasante pour ensuite faire de Pikine "une ville changeante". Sur la même lancée, il a traitera l'opposition "d’illusionnistes". "Ce sont des gens qui ont trompé leurs militants. Ils ont été trahi par leurs bêtises", a-t-il déclaré.
Par ailleurs ce dernier a demandé aux jeunes de s'ériger en bouclier pour sécuriser le vote le jour du scrutin. "Des gens de l'opposition ont payé des commandos pour tout faire chambouler. Ce qui n'arrivera pas", a prévenu le président sortant dont sa candidature est fortement contestée.
Abdoul K. Diop (Correspondant dans la banlieue)