C’est pourquoi, dans le cadre des activités pédagogiques de la Coopération française, en partenariat avec le ministère de l’Education nationale, le Sénégal va bénéficier de quatre projets sur les énergies durables à Dakar, Saint-Louis, Ziguinchor et Tambacounda à l’initiative du projet d’Africa express, selon le journal « Sud Quotidien ». L’annonce a été faite lors d’une rencontre du club scientifique du lycée de Thiaroye qui a accueilli, ce mercredi 16 mai le projet d’Africa express sur les énergies renouvelables.
60% des sénégalais n’ont pas accès à l’énergie alors qu’avec les énergies renouvelables, 95% des matériaux de fabrication pour la filière éolienne sont disponibles au Sénégal.
Ainsi notre pays, le 3ème visité parmi les 26 concernés par le projet d’Africa express à l’échelle du continent, bénéficiera de quatre projets sur les énergies durables à Dakar, Saint-Louis, Ziguinchor et Tambacounda.
Selon Maman Woré Faye, Secrétaire générale du club scientifique du lycée de Thiaroye qui présentait les résultats de leur recherche, «95% des matériaux utilisés, pour la filière énergie éolienne, se trouve au Sénégal. Cependant, ils ne sont pas exploités parce que les gens ne sont pas sensibilisés. Il appartient à notre jeune génération formée en la matière d’œuvrer à changer la situation en portant l’information au grand public pour diminuer la dépendance au pétrole».
60% des sénégalais n’ont pas accès à l’énergie alors qu’avec les énergies renouvelables, 95% des matériaux de fabrication pour la filière éolienne sont disponibles au Sénégal.
Ainsi notre pays, le 3ème visité parmi les 26 concernés par le projet d’Africa express à l’échelle du continent, bénéficiera de quatre projets sur les énergies durables à Dakar, Saint-Louis, Ziguinchor et Tambacounda.
Selon Maman Woré Faye, Secrétaire générale du club scientifique du lycée de Thiaroye qui présentait les résultats de leur recherche, «95% des matériaux utilisés, pour la filière énergie éolienne, se trouve au Sénégal. Cependant, ils ne sont pas exploités parce que les gens ne sont pas sensibilisés. Il appartient à notre jeune génération formée en la matière d’œuvrer à changer la situation en portant l’information au grand public pour diminuer la dépendance au pétrole».