Les sénégalais ont l’habitude de prendre des mesures en pleurant. Attendre que drame se produise pour réagir est devenu un rite au Sénégal. Au lendemain de la tragédie qui a vu sombrer le joola, les comportements avaient radicalement changé dans le transport, et les vieilles habitudes comme le surcharge dans les moyens de transport étaient délaissées. En ce neuvième commémoratif de l’accident maritime le plus meurtrier de l’histoire du Sénégal, les multiples reportages effectués dans le milieu du transport témoignent le retour de la règle de surcharge, coutumier des sénégalais. Partout l’excédent de charge est notoire. Une détresse que beaucoup expliquent par le manque de suivi des mesures de la part de l’Etat, mais surtout de la manie des populations. Un risque qui fait même prédire à certains d’autres catastrophes si des dispositions tardent à être prises.
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