Incendie sur le marché de Madina, suite à des affrontements à Conakry, le 1er mars 2013
Dans l'un des rares quartiers de Conakry où cohabitent toutes les communautés, la jeunesse a décidé de répondre aux agressions d'où qu'elles viennent, c'est-à-dire des forces de l'ordre et des pilleurs, accusés d’ailleurs de collusion. Pour sauvegarder leurs biens et parfois leur vie, les jeunes ont choisi de s'unir.
Pour les Malinkés, les Soussous ou les Peuls de Matoto, l'union fait la force : « Nous les Malinkés, les Soussous, on se réunit et on se crée un terrain d’entente, témoigne Mamadou Barry, un retraité qui réside à Matoto. Nous avons pris toutes les dispositions maintenant pour contrecarrer les forces de l’ordre. Ici à la frontière, il y a eu des pillages à Mototo et à Madina. Des forces de l’ordre ont commis des pillages. Ils tirent, ils chassent les populations ».
L'opposition a décidé de reporter à la fin de la semaine les funérailles d'un de ses partisans tué par les forces de l'ordre, le temps de sensibiliser la jeunesse favorable à l'opposition afin d'éviter tout débordement.
Source : Rfi.fr
Pour les Malinkés, les Soussous ou les Peuls de Matoto, l'union fait la force : « Nous les Malinkés, les Soussous, on se réunit et on se crée un terrain d’entente, témoigne Mamadou Barry, un retraité qui réside à Matoto. Nous avons pris toutes les dispositions maintenant pour contrecarrer les forces de l’ordre. Ici à la frontière, il y a eu des pillages à Mototo et à Madina. Des forces de l’ordre ont commis des pillages. Ils tirent, ils chassent les populations ».
L'opposition a décidé de reporter à la fin de la semaine les funérailles d'un de ses partisans tué par les forces de l'ordre, le temps de sensibiliser la jeunesse favorable à l'opposition afin d'éviter tout débordement.
Source : Rfi.fr