Idrissa Seck, 59 ans, candidat à la presidentielle sénégalaise du 24 février 2019, a promis mercredi soir à Goudiry, une zone à forte émigration, une assistance aux émigrés dans leur démarche administrative pour régler leurs papiers, lors d'un meeting dans le cadre de la campagne électorale.
"La contribution des émigrés dans notre économie est supérieure à l'aide au développement des organismes internationaux. Ils (les émigrés) méritent notre respect et notre considération", a déclaré le candidat de la coalition "Idy 2019", dans cette zone située à l'est du Sénégal.
Idrissa Seck a promis d'assister ces émigrés au niveau des services consulaires pour régler leurs problèmes de papier et les soutenir en cas de difficultés. "Ce sera un service consulaire qui fera de sorte qu'ils puissent avoir sur place, ce dont ils ont besoin ici au Sénégal".
Il s'engage à mieux organiser la construction des émigrés au Sénégal dans les opportunités d'affaires et d'investissements. S'adressant aux militants de Khalifa Sall, le candidat a déploré la façon dont la justice est manipulée par le régime en place. " Si on avait pas utilisé la justice pour écraser les adversaires politiques, on aurait eu d'autres candidats à l'élection presidentielle", soutient-il.
"La contribution des émigrés dans notre économie est supérieure à l'aide au développement des organismes internationaux. Ils (les émigrés) méritent notre respect et notre considération", a déclaré le candidat de la coalition "Idy 2019", dans cette zone située à l'est du Sénégal.
Idrissa Seck a promis d'assister ces émigrés au niveau des services consulaires pour régler leurs problèmes de papier et les soutenir en cas de difficultés. "Ce sera un service consulaire qui fera de sorte qu'ils puissent avoir sur place, ce dont ils ont besoin ici au Sénégal".
Il s'engage à mieux organiser la construction des émigrés au Sénégal dans les opportunités d'affaires et d'investissements. S'adressant aux militants de Khalifa Sall, le candidat a déploré la façon dont la justice est manipulée par le régime en place. " Si on avait pas utilisé la justice pour écraser les adversaires politiques, on aurait eu d'autres candidats à l'élection presidentielle", soutient-il.
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