Les litiges fonciers constituent toujours un gros problème dans le monde rural. Mercredi dernier, dans la région de Sédhiou, plus précisément dans le département de Goudomp, les habitants de deux villages voisins de la commune de Kolibantang, à savoir Sobaly et Kokoung, se sont violemment affrontés au cours d’une bataille rangée qui a fait 11 blessés, selon le journal Le Témoin.
Les deux villages voisins partagent ensemble une rizière qui se situe à peu près à deux kilomètres des deux villages. Depuis des années, les deux hameaux se disputent ces terres à chaque période d’hivernage. Le Litige avait d’ailleurs été soumis à l’arbitrage du sous-préfet et toutes les autorités du département de Goudomp avaient été mises au courant.
En 2015, année à laquelle le différend a démarré réellement, le sous-préfet avait ordonné un partage des terres pour mettre fin au problème. Le village de Sobaly qui, selon le président des jeunes de cette localité, Sounkarou Diébaté, est le propriétaire légitime des terres, a accepté le partage sans problème. Sobaly a donc reçu 15 hectares tandis que l’autre village voisin, Kokoung, a pris la part du lion à savoir 20 hectares.
Hélas, après les récoltes de cette année-là, les villageois de Kokoung ont estimé que la partie donnée à Sobaly, bien que plus petite, témoigne M. Diébaté, était la plus humide, donc la plus cultivable. « Ils ont refusé cette partie et veulent reprendre nos terres. Ce que nous n’avons pas accepté. Au moment du partage, nous avons accepté toutes les conditions. Maintenant, ils reviennent pour encore créer des problèmes », s’étrangle le président des jeunes de Sobaly, dans les colonnes du journal Le Temoin, qui rapporte les faits dans son édition de ce vendredi.
Mercredi dernier, les villageois de Kokoung sont allés tôt le matin investir les champs de leurs voisins. Informés, ceux de Sobaly sont allés les retrouver sur place. « Pas dans le but d’une bagarre mais pour discuter », à en croire le sieur M. Diébaté. Ce fut là leur malheur. Car, selon nos confrères, ils ont trouvé ceux de Kokoung prêts à en découdre. Ils se frottent violemment aux habitants de l’autre village en utilisant des armes blanches (coupe -coupe, haches, lance-pierres). Ceux de Kokoung, qui détenaient des lance- pierres, ont troué des têtes de leurs voisins.
Actuellement, les couteaux sont tirés dans les deux villages et, selon un enseignant, si rien n’est fait, tôt ou tard, il risque d’y avoir mort d’homme. Par conséquent, les autori- tés sont averties.
Les deux villages voisins partagent ensemble une rizière qui se situe à peu près à deux kilomètres des deux villages. Depuis des années, les deux hameaux se disputent ces terres à chaque période d’hivernage. Le Litige avait d’ailleurs été soumis à l’arbitrage du sous-préfet et toutes les autorités du département de Goudomp avaient été mises au courant.
En 2015, année à laquelle le différend a démarré réellement, le sous-préfet avait ordonné un partage des terres pour mettre fin au problème. Le village de Sobaly qui, selon le président des jeunes de cette localité, Sounkarou Diébaté, est le propriétaire légitime des terres, a accepté le partage sans problème. Sobaly a donc reçu 15 hectares tandis que l’autre village voisin, Kokoung, a pris la part du lion à savoir 20 hectares.
Hélas, après les récoltes de cette année-là, les villageois de Kokoung ont estimé que la partie donnée à Sobaly, bien que plus petite, témoigne M. Diébaté, était la plus humide, donc la plus cultivable. « Ils ont refusé cette partie et veulent reprendre nos terres. Ce que nous n’avons pas accepté. Au moment du partage, nous avons accepté toutes les conditions. Maintenant, ils reviennent pour encore créer des problèmes », s’étrangle le président des jeunes de Sobaly, dans les colonnes du journal Le Temoin, qui rapporte les faits dans son édition de ce vendredi.
Mercredi dernier, les villageois de Kokoung sont allés tôt le matin investir les champs de leurs voisins. Informés, ceux de Sobaly sont allés les retrouver sur place. « Pas dans le but d’une bagarre mais pour discuter », à en croire le sieur M. Diébaté. Ce fut là leur malheur. Car, selon nos confrères, ils ont trouvé ceux de Kokoung prêts à en découdre. Ils se frottent violemment aux habitants de l’autre village en utilisant des armes blanches (coupe -coupe, haches, lance-pierres). Ceux de Kokoung, qui détenaient des lance- pierres, ont troué des têtes de leurs voisins.
Actuellement, les couteaux sont tirés dans les deux villages et, selon un enseignant, si rien n’est fait, tôt ou tard, il risque d’y avoir mort d’homme. Par conséquent, les autori- tés sont averties.
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