Le site touristique d'Anakao, l'un des plus connus de Madagascar.
La route nationale 7 relie Antananarivo, sur les Hautes terres, à Tuléar, ville côtière du sud ouest. Elle traverse différentes villes et parcs nationaux et draine 65% des touristes. Ces derniers ne sont pas la cible des dahalos, les bandits, rassure Eric Koller, président de l’Office national du tourisme : « Jusqu’à aujourd’hui, les sites touristiques de la route du sud, en allant jusqu’à Ifaty, Anakao, sont en sécurité. Nous n’avons pas aujourd’hui d’informations selon lesquelles des touristes auraient eu un problème dans la zone sud. Les dahalos restent pour l’instant concentrés dans leur zone… dans leurs localités. Pour l’instant, ce que l’on espère, c’est que ça ne dérape pas sur les sites touristiques.»
Les précautions à prendre
En effet les dernières attaques meurtrières ont eu lieu non loin du parc national de l’Isalo, le parc le plus fréquenté du pays. L’Office national du tourisme reste donc très prudent.
« Lors de notre dernière assemblée générale, nous avons prévenu les différents officies régionaux de tourisme à proximité du sud de faire attention. Les recommandations aux touristes sont de ne pas aller la nuit sur les sites touristiques, de ne pas voyager sur la route la nuit, de ne pas prendre de taxi-brousse et éviter bien sûr de se ballader la nuit», ajoute Eric Koller.
Au-delà du phénomène des dahalos, les attaques sur les routes se sont multipliées depuis trois ans.
Source: RFI
Les précautions à prendre
En effet les dernières attaques meurtrières ont eu lieu non loin du parc national de l’Isalo, le parc le plus fréquenté du pays. L’Office national du tourisme reste donc très prudent.
« Lors de notre dernière assemblée générale, nous avons prévenu les différents officies régionaux de tourisme à proximité du sud de faire attention. Les recommandations aux touristes sont de ne pas aller la nuit sur les sites touristiques, de ne pas voyager sur la route la nuit, de ne pas prendre de taxi-brousse et éviter bien sûr de se ballader la nuit», ajoute Eric Koller.
Au-delà du phénomène des dahalos, les attaques sur les routes se sont multipliées depuis trois ans.
Source: RFI