C'est l'un des projets phare de la présidence d'André Rajoelina : construire deux lignes de téléphérique pour résoudre le fléau des embouteillages à Antananarivo, la capitale malgache qui connaît une croissance urbaine aussi phénoménale que chaotique.
Selon le gouvernement, ce nouveau moyen de transport doit répondre aux défis posés par des infrastructures vieillissantes, de moins en moins adaptées à une capitale de 3 millions d'habitants mais dont la population pourrait doubler d'ici 15 ans.
Le téléphérique est censé réduire considérablement les temps de trajet et la pollution dans la ville aux douze collines, dont la plus haute culmine à 1 430 mètres d'altitude. Selon le maire de la ville, Naina Andriantsitohaina, le téléphérique sera capable de transporter 40 000 passagers par jour et permettra "d'effectuer en trente minutes un trajet représentant d'une heure et demie à deux heures en véhicule".
"Le projet de téléphérique d'Antananarivo est d'abord motivé par notre volonté d'apporter une solution verte et efficace à nos concitoyens qui subissent tous les jours les conséquences économiques et sanitaires des embouteillages", assure Gérard Andriamanohisoa, secrétaire d'État chargé des Nouvelles villes et de l'Habitat, dans une interview accordée à l'agence Ecofin.
Selon le gouvernement, ce nouveau moyen de transport doit répondre aux défis posés par des infrastructures vieillissantes, de moins en moins adaptées à une capitale de 3 millions d'habitants mais dont la population pourrait doubler d'ici 15 ans.
Le téléphérique est censé réduire considérablement les temps de trajet et la pollution dans la ville aux douze collines, dont la plus haute culmine à 1 430 mètres d'altitude. Selon le maire de la ville, Naina Andriantsitohaina, le téléphérique sera capable de transporter 40 000 passagers par jour et permettra "d'effectuer en trente minutes un trajet représentant d'une heure et demie à deux heures en véhicule".
"Le projet de téléphérique d'Antananarivo est d'abord motivé par notre volonté d'apporter une solution verte et efficace à nos concitoyens qui subissent tous les jours les conséquences économiques et sanitaires des embouteillages", assure Gérard Andriamanohisoa, secrétaire d'État chargé des Nouvelles villes et de l'Habitat, dans une interview accordée à l'agence Ecofin.