En campagne électorale à Podor, une commune du nord du Sénégal, située à 215 km à l'est de Saint-Louis, l'opposant Idrissa Seck, a osé lancer une pique au candidat sortant, Macky Sall et au maire de la localité Aisssata Tall Sall, qui a récemment rejoint le camp du pouvoir, dont elle était hostile pendant plusieurs années.
"Population de Podor, je vous remercie de votre accueil exceptionnel. On nous avait dit que Podor appartenait à quelqu'un. Vous avez démenti cela de la plus belle des manière. Il fallait qu'on vienne à Podor, passer de maison en maison pour regarder vos visages", a déclaré Idy, devant une foule qui s'agrandissait petit à petit.
"Ce que nous avons constaté est que c'est nous qui sommes dans vos cœurs. Quand je constate l'état dénouement des villages que j'ai traversés et de pauvreté avancée et l'absence d'infrastructures de base, je demande réellement si quelqu'un n'a pas la capacité de s'occuper des endroits qu'il dit porter dans son coeur, comment peut-il s'occuper du reste du pays ", s'est-il demandé.
Idrissa Seck ajoute, "tout le monde est d'accord que le monsieur ne peut pas. Donc ce qui reste c'est de le conseiller. S'il perd, qu'il s'en aille tranquillement. Le 24 février nous fêterons la victoire de l'alternance".
"Population de Podor, je vous remercie de votre accueil exceptionnel. On nous avait dit que Podor appartenait à quelqu'un. Vous avez démenti cela de la plus belle des manière. Il fallait qu'on vienne à Podor, passer de maison en maison pour regarder vos visages", a déclaré Idy, devant une foule qui s'agrandissait petit à petit.
"Ce que nous avons constaté est que c'est nous qui sommes dans vos cœurs. Quand je constate l'état dénouement des villages que j'ai traversés et de pauvreté avancée et l'absence d'infrastructures de base, je demande réellement si quelqu'un n'a pas la capacité de s'occuper des endroits qu'il dit porter dans son coeur, comment peut-il s'occuper du reste du pays ", s'est-il demandé.
Idrissa Seck ajoute, "tout le monde est d'accord que le monsieur ne peut pas. Donc ce qui reste c'est de le conseiller. S'il perd, qu'il s'en aille tranquillement. Le 24 février nous fêterons la victoire de l'alternance".