Si le Directeur de publication du Populaire s’est limité à qualifier de diffamatoire le texte de Dakar actu et apporter les preuves adéquates, ce que nous avons demandé dans notre commentaire, « pour eux de démontrer le contraire ! », tout en précisant dans mon commentaire que « sincèrement j’ai du mal à croire à cette histoire mais… », il est allé plus en me citant nommément, « je voudrais m’arrêter sur l’article commis par Ndiaga DIOUF(…), un monsieur que nous avons vu débuter ici à la 7FM, prolixe contributeur à ses heures pleines, moralisateur de la presse à ses heures creuses » et plus loin dans sa réponse, « en gros l’élévation du texte de Ndiaga n’a d’égale que son extraction sociale ». Tout cela pour me répondre, je pense que c’est trop !
Un monsieur dit-il comme si mon grand Daouda ne me connaît pas, si, on a travaillé ensemble quand même dans le même groupe avec beaucoup de respect jusqu’à aujourd’hui, c’est mon sentiment. Demain si je repasse dans les locaux du Pop, je vais encore te serrer la main et échanger sur notre profession. Je parle toujours de la radio 7FM, comme ma deuxième école de formation et avec beaucoup de fierté. C’est peut-être cette fidélité folle avec cette chaîne qui explique depuis l’orientation de ma carrière. Mon cher je suis ailleurs grâce à ma profession qui ne se limite pas à la radio, à la presse écrite ou à la télévision et toutes mes heures sont pleines !
Au contraire ce qui peut me faire mal c’est l’état actuel de ce groupe de presse où tu m’a vu débuter, un groupe foutu en l’air non pas à cause du professionnalisme et du courage de ses journalistes mais par la nullité et le manque de vision de ses seuls responsables. C’est seulement au Populaire où tu vois sur 12 pages, tous les articles sans chapeau si ce n’est le texte des stagiaires, comme pour dire à force de rester là-bas on devient nul. Si Daouda DIARRA ne sait pas faire la part des choses entre un simple texte d’information et un commentaire c’est son problème.
Salut à tous mes amis au sein du groupe COM7 qui édite le journal le Populaire, j’ai un problème avec la vérité, j’oublie un certain formalisme.
Un monsieur dit-il comme si mon grand Daouda ne me connaît pas, si, on a travaillé ensemble quand même dans le même groupe avec beaucoup de respect jusqu’à aujourd’hui, c’est mon sentiment. Demain si je repasse dans les locaux du Pop, je vais encore te serrer la main et échanger sur notre profession. Je parle toujours de la radio 7FM, comme ma deuxième école de formation et avec beaucoup de fierté. C’est peut-être cette fidélité folle avec cette chaîne qui explique depuis l’orientation de ma carrière. Mon cher je suis ailleurs grâce à ma profession qui ne se limite pas à la radio, à la presse écrite ou à la télévision et toutes mes heures sont pleines !
Au contraire ce qui peut me faire mal c’est l’état actuel de ce groupe de presse où tu m’a vu débuter, un groupe foutu en l’air non pas à cause du professionnalisme et du courage de ses journalistes mais par la nullité et le manque de vision de ses seuls responsables. C’est seulement au Populaire où tu vois sur 12 pages, tous les articles sans chapeau si ce n’est le texte des stagiaires, comme pour dire à force de rester là-bas on devient nul. Si Daouda DIARRA ne sait pas faire la part des choses entre un simple texte d’information et un commentaire c’est son problème.
Salut à tous mes amis au sein du groupe COM7 qui édite le journal le Populaire, j’ai un problème avec la vérité, j’oublie un certain formalisme.
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