Les vagues de libérations des détenus dits politiques se poursuivent. Une initiative de l’Etat du Sénégal saluée par la population en particulier les familles de ces détenus heureuses de retrouver les leurs. Par contre, ces détenus ne peuvent que se contenter que de cette liberté et rien de plus. Selon Me Amadou Diallo, « l’ors qu’il n’y pas de jugement, on ne peut pas parler d’indemnisation ». Ce qui veut dire donc que les détenus politiques récemment libérés ne seront pas dédommagés après avoir perdus plus des mois en prison.
Selon la robe noire, aucune indemnisation n’est pour le moment envisageable. « L’indemnisation n’est envisageable qu’à la suite de l’épuisement de la procédure. C’est quand la personne a été par exemple relaxée ou acquittée et qu’elle est fait l’objet d’une détention d’une certaine durée. Donc à priori lors qu’il n’y a pas de jugement, on ne peut parler d'indemnisation parce qu’il faut savoir qu’il s’agit de liberté provisoire. Et qu’en principe, les procédures sont toujours en cours », a expliqué Me Diallo dans les colonnes du journal Les Echos.
Me Diallo de préciser qu’ «aujourd’hui, le combat de ces détenus politiques libérés, c’est de mettre la pression sur la justice pour qu’ils soient jugés. À la suite de ces jugements, s’ils sont acquittés, ils peuvent saisir la Cour suprême pour une indemnisation ».
Selon la robe noire, aucune indemnisation n’est pour le moment envisageable. « L’indemnisation n’est envisageable qu’à la suite de l’épuisement de la procédure. C’est quand la personne a été par exemple relaxée ou acquittée et qu’elle est fait l’objet d’une détention d’une certaine durée. Donc à priori lors qu’il n’y a pas de jugement, on ne peut parler d'indemnisation parce qu’il faut savoir qu’il s’agit de liberté provisoire. Et qu’en principe, les procédures sont toujours en cours », a expliqué Me Diallo dans les colonnes du journal Les Echos.
Me Diallo de préciser qu’ «aujourd’hui, le combat de ces détenus politiques libérés, c’est de mettre la pression sur la justice pour qu’ils soient jugés. À la suite de ces jugements, s’ils sont acquittés, ils peuvent saisir la Cour suprême pour une indemnisation ».