Chelsea l'avait fait la saison passée en l'emportant (1-0) en demi-finale aller (2-2 au retour). Que doit dès lors penser l'AC Milan après son succès surprise (2-0) devant le Barça, maitre incontesté de la Liga et lauréat de trois des sept dernières C1, mercredi soir à San Siro ? Oui, le club italien peut lui aussi espérer éliminer le géant catalan et réaliser un exploit totalement inattendu. Dans trois semaines, il va évidemment souffrir au Camp Nou face aux Espagnols qui partiront le mors aux dents pour combler leur retard, mais avec deux buts d'avance, il s'est créé les conditions optimales d'une qualification, qui paraissait improbable au moment du tirage au sort.
Du grand Mexès
Comme Chelsea l'an dernier et l'Inter en 2010, le Milan a réalisé une grosse performance défensive. Et collective. Car, on ne domine pas le Barça en s'arc-boutant seulement sur son but. Si le club lombard a effectivement maitrisé son adversaire sur le plan défensif, grâce notamment aux replis latéraux de Boateng et El Shaarawy et une grande prestation de Mexès, il a aussi fait la différence en se montrant réaliste et ambitieux sur deux actions différentes.
Messi transparent
Sur la première, après un coup-franc de Montolivo qui a trouvé la main involontaire de Zapata et provoqué l'arrêt des Barcelonais sur le coup, Boateng ne s'est pas fait prier pour tromper Valdes du gauche (57e). Tandis que Messi - un seul but inscrit sur penalty à San Siro en cinq apparitions désormais - était digne de Casper le fantôme (aucun tir cadré), le Milan a corsé l'addition à travers une action à trois Niang-El Shaarawy-Muntari conclue par le dernier d'une reprise croisée du gauche (81e). Parfaitement muselé, le Barça s'est montré très peu dangereux, à l'image d'un coup franc de Messi dans les nuages (63e) et de tentatives non cadrées (Iniesta 76e, Xavi 80e, Puyol 87e). Barcelone, qui avait éliminé le Milan l'an passé en quarts (0-0, 3-1), a cette fois pris la leçon. Il tentera de corriger le tir le 12 mars. On a déjà hâte d'y être.
Du grand Mexès
Comme Chelsea l'an dernier et l'Inter en 2010, le Milan a réalisé une grosse performance défensive. Et collective. Car, on ne domine pas le Barça en s'arc-boutant seulement sur son but. Si le club lombard a effectivement maitrisé son adversaire sur le plan défensif, grâce notamment aux replis latéraux de Boateng et El Shaarawy et une grande prestation de Mexès, il a aussi fait la différence en se montrant réaliste et ambitieux sur deux actions différentes.
Messi transparent
Sur la première, après un coup-franc de Montolivo qui a trouvé la main involontaire de Zapata et provoqué l'arrêt des Barcelonais sur le coup, Boateng ne s'est pas fait prier pour tromper Valdes du gauche (57e). Tandis que Messi - un seul but inscrit sur penalty à San Siro en cinq apparitions désormais - était digne de Casper le fantôme (aucun tir cadré), le Milan a corsé l'addition à travers une action à trois Niang-El Shaarawy-Muntari conclue par le dernier d'une reprise croisée du gauche (81e). Parfaitement muselé, le Barça s'est montré très peu dangereux, à l'image d'un coup franc de Messi dans les nuages (63e) et de tentatives non cadrées (Iniesta 76e, Xavi 80e, Puyol 87e). Barcelone, qui avait éliminé le Milan l'an passé en quarts (0-0, 3-1), a cette fois pris la leçon. Il tentera de corriger le tir le 12 mars. On a déjà hâte d'y être.
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