"Chaque enfant tué ou blessé dans un accident de la route a des conséquences humaines et sociales désastreuses. Non seulement pour les personnes directement concernées mais aussi pour les familles, amis et camarades de classe. Une étude de 1993 a montré que 90% des familles de décédées et 85% des familles de survivants d'accident connaissent une dégradation de leur qualité de vie". C'est en substance la déclaration faite par Ndeye Awa Sarr, présidente de l’ONG "Laser" lors de la campagne de lancement du programme "safe routes to school". Pour elle il faut protéger les enfants et particulièrement les écoliers surtout pour ceux qui font face aux routes longuement empruntées et fréquentées par de automobilistes.
En effet, l'enjeu est fondamental. A l'en croire, il faut que les usagers changent de comportement et il leur faut un cadre adéquat "afin que la route soit un espace de partage et de civisme plutôt qu'un lieu de délinquance. Il faut y mettre un terme". Pour Ndeye Awa Sarr, il est temps d'agir et porter la campagne et y croire. En outre, Pikine est un département bondé de véhicule. Des enfants sont exposés et pour cela la sécurisation d'un large périmètre autour des établissements les plus exposés par l'aménagement des espaces environnants en dispositif de sécurité routier, apprendre aux élèves à reconnaitre des panneaux de signalisation, la mise en place de bonhommes verts.
Représentant le Ministre des Transports terrestres, des Transports ferroviaires et l'Aménagement du territoire, Bassirou Guissé, secrétaire général dudit ministère est revenu sur l'importance de cette campagne 2011-2020.
"Chaque année, près de 1,3 millions de personnes dont plus de la majorité ne sont ni conducteurs ni passagers, d'une voiture meurent dans un accident de la circulation. Et parmi ces victimes, les jeunes en général et les écoliers en particulier occupent une place importante" clame-t-il. Sur la même lancée, il fera savoir qu'"une réelle délinquance continue de se manifester dans la circulation". Le maire de la ville de Pikine Pape Sagna Mbaye a pour sa part affirmé que "ce sont quatre écoliers qui ont été fauchés en une semaine à Pikine. Donc il faut conscientiser les uns et les autres pour que pareils cas ne se reproduisent plus", conclut-il.
En effet, l'enjeu est fondamental. A l'en croire, il faut que les usagers changent de comportement et il leur faut un cadre adéquat "afin que la route soit un espace de partage et de civisme plutôt qu'un lieu de délinquance. Il faut y mettre un terme". Pour Ndeye Awa Sarr, il est temps d'agir et porter la campagne et y croire. En outre, Pikine est un département bondé de véhicule. Des enfants sont exposés et pour cela la sécurisation d'un large périmètre autour des établissements les plus exposés par l'aménagement des espaces environnants en dispositif de sécurité routier, apprendre aux élèves à reconnaitre des panneaux de signalisation, la mise en place de bonhommes verts.
Représentant le Ministre des Transports terrestres, des Transports ferroviaires et l'Aménagement du territoire, Bassirou Guissé, secrétaire général dudit ministère est revenu sur l'importance de cette campagne 2011-2020.
"Chaque année, près de 1,3 millions de personnes dont plus de la majorité ne sont ni conducteurs ni passagers, d'une voiture meurent dans un accident de la circulation. Et parmi ces victimes, les jeunes en général et les écoliers en particulier occupent une place importante" clame-t-il. Sur la même lancée, il fera savoir qu'"une réelle délinquance continue de se manifester dans la circulation". Le maire de la ville de Pikine Pape Sagna Mbaye a pour sa part affirmé que "ce sont quatre écoliers qui ont été fauchés en une semaine à Pikine. Donc il faut conscientiser les uns et les autres pour que pareils cas ne se reproduisent plus", conclut-il.