En effet , précise Amina Barro membre de l’Enac « l’Etat ne nous finance pas et ne nous subventionne pas, les associations de consommateurs se prennent elles mêmes en charge donc je ne vois pas en quoi nous pouvons sommes affiliés à l’Etat ».
Ces accusations sont consécutives à la plainte déposée par l’Enac auprès de l'agence des télécommunications et des postes contre la Sonatel. Cette dernière avait privé « les consommateurs de services déjà payés que constituent l’internet, les télécommunications internationales ainsi que les paiements électroniques ». Ceci était pour la Sonatel une façon de dire non à l’arrivée de global voice. Jugeant cette situation anormale, l’Enac a saisi l’Artp. Et cette plainte est vue comme un soutien à l’Etat qui a fait appel à global voice pour le contrôle des appels internationaux.
Ainsi, depuis cette date un amalgame est entretenu sur une éventuelle position que l’Enac aurait prise. « Nous ne sommes ni pour, ni contre l’arrivée de global voice nous continuons à collecter des informations afin d’être édifiés sur la question » crie Jean Pierre Dieng, très en verve. Il ajoute sur la même lancée et sur le même ton « nous ne sommes pas à la solde de l’Etat ». Encore que Momar Ndao précise que « chacun est libre de faire des interprétations mais nous savons que nous sommes objectifs ». Cette plainte déposée doit désormais être le mobile dissuasif pour tous les syndicalistes.
Aussi, le problème ne serait pas seulement la plainte déposée, dit-on. Mais plutôt « la Sonatel elle-même qui semble être intouchable » selon le président de l’Ascosen. « Nous avons eu à manifester et à déposer une plainte contre la Senelec et personne n’a jamais rouspéter, depuis 21 ans nous nous battons il a suffit de toucher la Sonatel pour être traité de tous les noms d’oiseau ».
Par ailleurs, le combat Artp/Sonatel est fictif. Le vrai bras de fer est entretenu par l’Etat du Sénégal et France télécom selon M. Ndao. Et ce dernier est convaincu qu’il faut que « global voice passe sinon les prix vont augmenter et ce sont les consommateurs qui en pâtiront ». Ayant discuté avec les différentes parties, le président de l’Ascosen indique que « les syndicalistes de la Sonatel ne m’ont pas convaincu, le directeur général non plus ». « Je ne veux pas être contrôlé tout le temps, on peut me contrôlé de temps à temps », telle est la confidence que Cheikh Tidiane Mbaye aurait faite à Momar Ndao argumentant son désaccord pour l’arrivée de global voice.
Ces accusations sont consécutives à la plainte déposée par l’Enac auprès de l'agence des télécommunications et des postes contre la Sonatel. Cette dernière avait privé « les consommateurs de services déjà payés que constituent l’internet, les télécommunications internationales ainsi que les paiements électroniques ». Ceci était pour la Sonatel une façon de dire non à l’arrivée de global voice. Jugeant cette situation anormale, l’Enac a saisi l’Artp. Et cette plainte est vue comme un soutien à l’Etat qui a fait appel à global voice pour le contrôle des appels internationaux.
Ainsi, depuis cette date un amalgame est entretenu sur une éventuelle position que l’Enac aurait prise. « Nous ne sommes ni pour, ni contre l’arrivée de global voice nous continuons à collecter des informations afin d’être édifiés sur la question » crie Jean Pierre Dieng, très en verve. Il ajoute sur la même lancée et sur le même ton « nous ne sommes pas à la solde de l’Etat ». Encore que Momar Ndao précise que « chacun est libre de faire des interprétations mais nous savons que nous sommes objectifs ». Cette plainte déposée doit désormais être le mobile dissuasif pour tous les syndicalistes.
Aussi, le problème ne serait pas seulement la plainte déposée, dit-on. Mais plutôt « la Sonatel elle-même qui semble être intouchable » selon le président de l’Ascosen. « Nous avons eu à manifester et à déposer une plainte contre la Senelec et personne n’a jamais rouspéter, depuis 21 ans nous nous battons il a suffit de toucher la Sonatel pour être traité de tous les noms d’oiseau ».
Par ailleurs, le combat Artp/Sonatel est fictif. Le vrai bras de fer est entretenu par l’Etat du Sénégal et France télécom selon M. Ndao. Et ce dernier est convaincu qu’il faut que « global voice passe sinon les prix vont augmenter et ce sont les consommateurs qui en pâtiront ». Ayant discuté avec les différentes parties, le président de l’Ascosen indique que « les syndicalistes de la Sonatel ne m’ont pas convaincu, le directeur général non plus ». « Je ne veux pas être contrôlé tout le temps, on peut me contrôlé de temps à temps », telle est la confidence que Cheikh Tidiane Mbaye aurait faite à Momar Ndao argumentant son désaccord pour l’arrivée de global voice.
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